Souvenirs

c'était le bon temps ( Hendaye Cerbère 2013)
 au début de la descente du col de Pailhéres 2000 m



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Sortie du samedi 3 Février 2024
                                 Cote de Monségur


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Sortie du samedi 18 novembre 2017

                                              Abbaye Bénédictine de Larreule



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BAS ARMAGNAC ( AVRIL 2017)



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LE CHIROULET (10 Mars 2017)

Petit tour dans la vallée de Lesponne et montée jusqu'au Chiroulet par un temps magnifique. Lors d'une halte à Campan légère retombée en enfance de la part de .... vous l'avez reconnu . Sortie agréable , parti tous ensemble revenu tous ensemble, c'est à marquer d'une pierre blanche.


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TOUR DE FRANCE 1910

pps Tour de France 1910

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                                   JOURNÉE FAMILLE DU 22 OCTOBRE 2016

On prend les mêmes et on recommence. Cette année encore nous n'avons pas failli à la règle. Tous les ingrédients étaient là pour passer une agréable journée : promenade un tantinet "frisquette" dans les bois pour les lève-tôt , préparation du repas pour quelques préposés au service et attente de l'apéro au soleil pour tous les autres. Inutile de commenter une partie de ce qui s’ensuivit, le film a été vu et revu maintes fois . Quelques infos quand même car certains d'entre nous ont comme le dit la chanson la mémoire qui flanche ; repas excellent , chansons entonnées par nos choristes de service que vous connaissez tous, un tout petit peu ( c'est un euphémisme vu l'état de la bouteille en fin de parcours) d'armagnac pour atténuer le goût du café etc... Certains de nos cigognards sont d'excellents descendeurs ou ont la descente facile, à vous d'employer le terme qui convient !! Vint enfin pour clôturer le tout l'annonce de l'anniversaire de notre ami Jean Louis . Grand moment d'émotion pour notre ami partagé par tous .Son âge, peu importe, toujours jeune dirons nous et gaillard personne n'en doute .Son caractère, je ne voudrai le vexer s'apparente à celui des toys de nos montagnes, rugueux en apparence, coriace , volontaire et toujours fidèle au club. Le maillot du club lui a été remis par Pierre. Pas de discours à n'en plus finir pour rien , tout le monde a participé intérieurement à cet instant particulier. Non je n'oublie pas le gâteau en l'honneur de Jean Louis confectionné de main de maître et comme d'habitude par nôtre pâtissier en chef Bernard. Il commence à se faire tard et comme lors de nos sorties vélo nos Cigognes se dispersent . A l'année prochaine
Adishatz 

 PS: photo de nos "marcheurs" d'autres suivront sans doute plus tard, laissons nos professionnels de la photo s'en charger.

 

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                                        Cueillette de champignons





La pratique du vélo réserve parfois quelques surprises. En cette période automnale les esprits des anciens s'échauffent rien qu'en pensant aux "camparos" (champignons pour ceux qui ne sont pas de chez nous). Lors d'une sortie vélo l'un de nos trois compères Néné, Guy et Michel loin de se concentrer sur la pente à gravir avait ses yeux perçants qui scrutaient le bas côté de la route. Bien lui en a pris, dans un virage ce qu'il prit de prime abord pour un mirage s'avéra réel; Deux jolis cèpes étaient là attendant d'être cueillis. Photo prise , nos trois amis, en bons bigourdans , chaussures avec cales anti dérapantes au pied , casque sur la tête se mirent à fouiller les alentours en vain. Agréable sortie qu'ils pourront remiser dans une case souvenir et se remémorer lors d'agréables veillées.

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Le temps de ce samedi 17 septembre 2016 était des plus incertain s'est pourquoi nombreux furent nos cyclos  à rester au chaud. Trois courageux se sont présentés quand même au départ de la randonnée organisée par le club Séméac Evasion. Nous pouvons les congratuler car il aurait été vraiment navrant qu'aucun Cigognard ne soit présent à cette manifestation ou nous comptons de nombreux copains . Nous nous rattraperons une autre fois. Ci dessous quelques photos de nos amis Christian, Pierre L., Pierre R..




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NOS MOUNAQUES

Lors de leur retour du Col d'Aspin quelques uns de nos copains ont voulu concurrencer les "Mounaques" de Campan. Il est vrai qu'ils ne dépareillaient pas . Peut être que le comité des fêtes de Campan leur permettra de trouver un job d'été l'an prochain pour arrondir leur fin de mois ! Si vous trouvez que les photos sont floues ne vous étonnez pas le photographe étant Néné il avait mis le flash sur son appareil par un jour lumineux et plein soleil. Je plaisante pour faire plaisir à Boby. La prochaine fois ce sera lui sur la sellette. Il est à noter également que notre sortie du 24 Août dans les Baronnies était des plus rafraichissante dans ce beau coin des Pyrénées malgré la chaleur annoncée.





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CANAL DU MIDI 2016

Cigognes au canal du Midi ;


Après un court voyage en minibus jusqu'à TOULOUSE les deux Girondins (Alain Manesse et son gendre Jérôme) arrivés en train nous rejoignent.


C'est le départ de la 1ère étape pour CASTELNAUDARY. Arrêt casse-croûte à PORT-LAURAGAIS. Arrivée en plein centre à l’Hôtel " la maison du cassoulet".


Visite de la ville jusqu'au moulin perché puis l'église, le port et le soir première dégustation du plat maison.


2ème étape, arrêt café à BRAM puis casse-croûte organisé par Jean-Claude et Alain à PEZENS  et enfin CARCASSONNE se profile à l'horizon. Montée jusqu’aux remparts et visite de la cité par les 3 Pierre au milieu d'une foule dense.


Puis direction TREBES le long du canal pour rejoindre l' Hôtel " le Floréal", et pour certains deuxième cassoulet.


3ème étape, la plus longue (91 km), café à HOMPS , casse-croûte au SOMAIL toujours sur la remorque puis après un gros coup de chaleur l'après-midi " toche" salvatrice à CAPESTANG ;


Arrivée à NISSAN lez ENSÉRUNE à la chambre d'Hôtes " le domaine de Salabert" OUF! Repas champêtre, fête des deux ALAINS, et soirée "paella maison " animée par Pierre de BAZILLAC  en pleine forme.


4ème et dernière étape : montée à l’Oppidum d' ENSÉRUNE,  BEZIERS, VIAS, AGDE, puis jeux de piste vers l'embouchure de l' HERAULT, vers Cap d' AGDE, vers MARSEILLAN plage.


Nous retrouvons la fin du canal et nos accompagnateurs qui commençaient à s'inquiéter.


Nous prenons ensuite la direction de MARSEILLAN-Ville pour clôturer notre aventure par un petit "resto». Ce périple laissera pleins de souvenirs, de chemins creux, de racines sèches et tortueuses, d'ornières, mais aussi de belles écluses fleuries, de nombreux bateaux tout le long des berges et dans les petits ports.


En fin de compte et comme souvent tout ce petit  monde semblait heureux d'avoir participé à cette aventure. Pour preuve le petit mot de remerciement de JÉRÔME.


Chargement des vélos à l'ombre, puis départ vers TARBES où de nombreux bouchons sur l'autoroute nous obligèrent à obliquer vers la gauche vers MIREPOIX (toches des plus appréciées).

Puis FOIX, St GIRONS, L' ESTELLE, TARBES, arrivée 23h 15’. Merci chauffeur !
Bilan : 290 km.
 

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MONTEE DU GEANT AU TOURMALET 2016

Vous trouverez sur la  page Facebook de l'Office Des Sports des Hautes Pyrénées la montée du  géant 2016. Cliquez et vous y arriverez sinon demandez aux copains qui se  feront un plaisir de vous aider ( comme lors de la montée d'un col ...!! )

Montée du Géant Tourmalet

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SEJOUR EN DORDOGNE (du 28 Mai au 4 Juin 2016)


Vous trouverez ci dessous le lien qui vous transportera en Dordogne lors du séjour d'une partie du club des Cigognes. Peut être un récit de l'épopée qui est en attente dans une petite case du cerveau de notre ami Pierre viendra argumenter les photos que notre ami Raymond fana et inconditionnel du téléphone portable a réuni dans un album. 
Prenez votre temps, cliquez sur la flèche de droite et  savourez.
 


SEJOUR DORDOGNE 2016

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Col de PEYREHITTE ou SARRAT de GAYE (10 mai 2016)

Pas très nombreuses nos "Cigognes" au sommet du col , auraient-elles eu peur de l'orage !!


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Histoire du tour de France

Voici un pdf sur le tour de France que m'a fait parvenir ???




     Anecdotes dans le tour de France






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CHIROULET  (7 mai 2016)

Onze cigognards et une dynamique cigogne posent au Chiroulet. Vous pouvez apercevoir à l'arrière la vallée empruntée par les randonneurs pour atteindre le célèbre lac bleu. Comme d'habitude sortie tranquille par un temps variable et sous un ciel menaçant . Il était quand même temps car à 17 h 30 un petit orage venait rafraichir l'atmosphère. Il est à noter que quelques uns d'entre nous ont raccompagné Alain jusqu'à Bénac par la côte de Visker.


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Séjour dans la " Grande Lande " , à SABRES
Vendredi 9 h départ de TARBES sous le soleil pour 15 cigognes et 2 accompagnatrices qui arrivées à GAREIN doivent attraper les parapluies et plus loin à VERT chercher un coin au sec pour casser la croûte.
Puis direction SABRES et " l'Auberge des Pins" où une fois installés et en tenue nous partons pour le petit parcours du Vendredi. LUGLON, ARENGOSSE et RION des Landes où nous nous attardons pour visiter le village : l'église, les Arènes Landaises (où un employé municipal eut la gentillesse de nous ouvrir les portes)  et un passage rapide devant le "resto" de MAÏTÉ .
Nous remontons ensuite vers MORCENX à la recherche de la pierre miraculeuse de GRIMANN, et c'est là que CHRISTINE fut victime d'une chute heureusement sans gravité.
Un monsieur, voisin de la scène, vint voir ce qui se passait et voyant nos maillots de TARBES nous dit qu'il était des PYRÉNÉES, de la BARROUSSE plus précisément.
Il s'est proposé, en VTT, de nous mener à cette fameuse pierre qui fut fort difficile à trouver. Elle a le pouvoir de faire marcher les enfants handicapés, c'est pour cela que les gens y déposent de   petites chaussures.
Repartis pour SABRES nous y arrivons sans pluie aprés 71 km.
Après un bon souper, dodo avant la grande sortie du lendemain (140 km). La météo veut nous décourager en lançant une alerte orange avec grêle dans l'après midi.
Malgré cet avertissement la majorité des Cigognes est déterminée et avec le soleil matinal se lance vers l'Ouest et l'Océan: COMMENSACQ, LABOUEYRE, LUË, et les pistes cyclables à partir de PARENTIS, BISCARROSSE-Ville et BISCARROSSE-Plage où quelques-uns furent tentés d'aller tâter la température de l'eau.
Puis reprise de la piste afin de gravir la dune au milieu des pins et des genêts et redescendre vers le lac de SANGUINET où CHANTAL, CÉCILE et BLAISE nous attendent pour déguster quelques unes de leurs provisions.
Chose faite nous revenons vers BISCARROSSE-Ville pour prendre un petit café, puis direction PARENTIS. Alors que nous nous dirigions vers YCHOUX une petite pluie se déclencha, puis s'accentua alors que nous atteignons LIPOSTHEY .Ce fut une véritable "pishada" arrivés à PISSOS (normal) et jusqu'à notre Auberge à SABRES.
Après une douche réchauffante tout est rentré dans l`ordre. Un bon repas bien arrosé lui aussi remettait les organismes en état de marche.
Dimanche matin, alors que PIERRE et NÉNÉ repartent à TARBES (finale de basket oblige) et que MYRIAM et CLÉMENT sont venus se joindre à nous, nous prenons le chemin de l' Écomusée de MARQUÈZE.
Le petit train des années 1900, où la "boha" a sonné en sentant l'air du pays grâce à notre "bohaire" CÉCILE, nous amena alors au cœur du "pignada" pour visiter "l' AIRIAL" landais.
Cela commença devant un beau bœuf blond et se termina avec le moulin à eau sur "l'ESCAMAT".
Repas aux "Tables de MARQUÈZE, sur le site, et retour par l'antique wagon .
Enfin dernier acte à côté de la gare : visite du musée des LANDES ainsi que l'exposition de vieilles photos du XIX siècle sur la grande Lande de Félix ARNAUDIN.
Retour à TARBES après un Weekend  humide mais fort apprécié de tous. 
   





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La  BORDERAISE 2016  
Quelques photos de la randonnée la Borderaise . Comme d'habitude de nombreux cyclos y ont participé dont les Cigognes. Nous pouvons constater qu à part au départ et parfois au ravitaillement ce n'est pas trop dans notre culture de rester "groupir". On aperçoit des solitaires , d'autres intégrant quelques groupes etc. Néanmoins bonne sortie pour tous nos participants . Fatiguées nos cigognes n'ont pas osé la refaire à l'envers le mercredi suivant et se sont contentées d'un circuit plus plat !!
Si vous désirez revoir le déroulé photographique en entier de cette manifestation  avec en prime une belle musique d'accompagnement aller consulter le site de Bordères  dans le  lien  mis à votre disposition .
Hasta la vista companeros













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Une omelette Pascale précoce et réussie.
 

Une trentaine de participants, en cette fin Mars, a dégusté la traditionnelle omelette à l’auberge des " Bergeronnettes".

Pour débuter cette journée un temps maussade n’incitait pas à la balade cyclo-touristique.


Malgré cela deux des plus téméraires, en l’absence de Jean-Claude déclaré forfait pour blessure au pied (une pierre très lourde ayant eu la malencontreuse idée de tomber sur son coup de pied, le handicapant fortement mais lui permettant toutefois de participer au repas chaussé de façon adaptée) tentèrent de venir à BARTRES en vélo.


D'abord ROBERT qui, parti de chez lui, fit le parcours prévu accomplissant 60 km et 600m de dénivelé .


JACKY ensuite, de St. LEZER où il demeure arriva in extremis pour passer à table. A leur arrivée ils furent salués par une salve d’applaudissements bien mérités.


LOUIS (Gégé) vint bien au quai de l'Adour comme prévu mais personne .!!!  Alors il retourna chez lui tout penaud pour se changer et accompagner JOSETTE et cette fois en voiture.


Repas traditionnel, dans une auberge des  " Bergeronnettes" bien remplie et des omelettes bien fournies, au prix exceptionnel et constant de 12 € .


Photo de famille prise et pour bien digérer, 19 convives prirent la direction du bois de LOURDES pour une marche salutaire.


 Pour beaucoup ce fut une découverte le long du gave de PAU, par une route fleurie (beaucoup de jacinthes sauvages) où MANÈ fort décidée, caracolant en tête, imposa un rythme soutenu.


Sur le retour, après 8 km et 1h 50` de promenade, arrivée à l'aire de jeu avec le soleil ou chacun a pu s'essayer aux différents appareils suivant l'état physique du moment.


Ainsi s'est terminée cette journée réussie de l'omelette Pascale 2016 où seul le problème de santé de GUYTOU fit passer un petit frisson dans le groupe.























Jacky et Robert les deux plus courageux





































 





















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Sortie du mercredi 23 mars 2016

LEMBEYE


Petit commentaire de jean Claude B. que je partage:

" Tous petits sur la photo mais si grands sur le vélo!!!"
Ayant besoin de rajouter mon petit grain de sel pour relever un tout petit peu le commentaire, vous avez remarqué sans aucun doute que deux charmantes féminines étaient dans le groupe. Ou sont nos véloces compagnons du soit disant groupe 1 ? Sont ils fatigués, ont ils eu peur ou ont ils voulu montrer leur supériorité s'il  en est  au groupe 2 ? Nous saurons le leur rappeler et je ne doute pas un instant qu'ils se reconnaitront. Sans rancune.
A bientôt
 
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Sortie du samedi 13 février 2016

Midi quai de l'Adour, le soleil est au rendez vous neuf cigognards aussi. Horaire avancé afin que nous soyons de retour pour profiter du match France - Irlande. Le départ se déroule normalement comme toute sortie ordinaire. les trois premières côtes sont franchies sans encombre. Nous voilà sur le plat descendant vers Auriébat via Rabastens. Un vent de trois quart ou de face à décorner les bœufs va nous accompagner tout le long du chemin. Certains aiment, d'autres moins. Laurent qui reprend le vélo commence à peiner, nous essayons de baisser le rythme malgré quelques assauts intempestifs de certains qui se font plaisir et qui rentrent gentiment dans le rang . Dernière petite difficulté la côte d'Auriébat qui n'est pas très longue mais avec deux passages aux alentours de 12%. Là, arrêt obligatoire. Notre président grand amateur de tout ce qui se rapporte à l'histoire nous fait poser devant le portail de cette église du XV ème siècle. La conversation porte sur le nom de ce village. Plusieurs possibilités sont évoquées mais pour plus de certitude ou quasi certitude il sera fait appel à Wikipédia qui nous indique l'étymologie d'Auriébat: viendrai du latin Auréa Vallis qui signifie Val d'Or. Donc voilà vous savez tout et pourrez remonter cette côte le cœur léger en pensant que vous allez dans une vallée !! Les photos ont été prises par Guy et Raymond qui pour une fois aura le plaisir d' apparaître sur une photo. Le retour se passa sans encombre le vent ayant baissé d'intensité. Espérons que notre ami Laurent aura passé une bonne nuit  de récupération. Attention à son retour en forme, certains lui ayant asséné quelques petites banderilles risquent de le payer cher.
Adishatz



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Sortie du 09 janvier 2016

Voici quelques uns de nos cyclos qui veulent commencer l'année plus calmement. Il s'agit du groupe 2 effectuant une pose au lac de l'Arrêt-Darré. Le groupe 1 quant à lui doit être déjà de retour à Tarbes. Manque sur la photo Raymond le photographe du jour.
PS: ce n'est que le début de la saison, le groupe 2 pourrait s'agrandir au fil du temps.


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CHOCOLAT CHAUD AUX BERGERONNETTES à BARTRES (26/12/2015)

 20 participants à la sortie “ du chocolat de l’amitié “ , aux BERGERONNETTES, dont 16 cyclos.
Petite augmentation par rapport à 2014 (17)
Super tourtes maisons fort appréciées, malgré un diminution du prix : 2,50€ au lieu de 3€ (info pour les trésoriers)
CLEMENT et MYRIAM étaient de la partie ainsi que CECILE et JEAN-LOUIS qui avait un gros rhume.
Seul incident : une roue libre qui se dévisse lors de la montée à de BARTRES , bloquant le pédalage, pour THIERRY FAR le copain de MICHEL, mais heureusement les mécanos étaient là avec PATRICE comme chef d’équipe.

PS : L’omelette PASCALE est retenue pour 2016 auprès de l'aubergiste.  




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PETIT TOUR à SERRE LANSO

La montée à Serre Lanso fut rude, très rude pour certains et non des moindres qui décidèrent de faire demi tour. Tous les autres ont posé pour la postérité. Quelle ne fut pas la surprise lors de la grimpette de croiser une cigogne solitaire ( vous voyez de qui il est question : JLC ) , toujours aussi solide qui redescendait tout tranquille. Quel punch, chapeau!
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VISITE A JACQUES BAYLAC A BAGNERES


Ne vous méprenez pas ce n'est pas une Kalachnikov que brandit Jacques mais bel et bien une béquille. En rééducation à Bagnères de Bigorre suite à une opération à un genoux celui ci récupère petit à petit et son moral est au beau fixe. Imaginez sa surprise lorsqu'il vit apparaître dans le ciel bagnérais une colonie importante de cigognes venue lui rendre une petite visite amicale. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement et un retour rapide parmi nous.

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JOURNEE du 24 AVRIL 2015

Col d'ASPIN

Pierre,Guy, Jacques C., Raymond

Francis récompensé au nom du club par Maryse.
NB: au vu de la photo nous pourrions nous demander qui récompense l'autre !!!



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Sortie à Sauveterre sous un ciel variable
                                                     
                                                              Le 22 février 2015



                                                        Vue sur la chaine des Pyrénées

                                              Michel G, Jacques C., Michelle, Pierre R.


                                               Les mêmes  et l'église en entier ou presque
Le bureau des Cigognes moins le trésorier (qui doit au coin du feu vérifier ses comptes) auquel s'était rajouté un Cigognard de base est allé par pure curiosité faire un petit tour à Sauveterre. Nous nous doutons bien que le groupe que nous nommerons "un" sorti vendredi après midi a, lui , le nez dans le guidon évité cette petite montée... Vu d'en haut le paysage est magnifique , une église en très bon état, une mairie toute neuve affichant des armoiries avec trois coquilles Saint Jacques et une petite place avec bancs n'attendant que quelques cyclos viennent s'y reposer. Pour  mémoire la petite rue qui mène jusqu'en haut s'appelle la rue de St Jacques de Compostelle .
Manque sur les photos notre ami Jean Claude B. qui comme d'habitude et en expert qu'il est était derrière la caméra.
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Sortie au château de Montaner par une belle journée d'hiver

                          Le 9 février 2015


                      Néné, Jacky, Jacques C., Blaise

       Michel G., Jacky, Jacques C., Marie Noëlle, Blaise


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LES BERGERONNETTES à BARTRES (26/12/2014)




L'hiver est là avec ses sautes d'humeur. Un jour beau, un jour froid, un jour pluvieux et j'en passe.
Nous avons donc profité d'un jour que nous qualifierons de variable afin de satisfaire certains d'entre
 nous pour qui le traditionnel chocolat chaud de fin d'année est sacré ( n'est ce pas Gilbert). Après un petit tour "tout tranquillou" et juste ce qu'il faut pour éliminer quelques restes encore mal digérés du repas de Noël nous sommes arrivés sans encombre ou presque ( petit retard dû à une crevaison de Roland ) à Bartrès . Dix sept Cigognes se sont attablées et ont entrepris de se réchauffer devant un bon petit chocolat accompagné d'excellentes tourtes maison. Pour immortaliser ce petit moment  de convivialité notre photographe Cécile s'était jointe à nous. Le retour direct sur Tarbes a été des plus rapide et Roland a mis un point d'honneur à ce que le petit retard du matin soit vite comblé . Ce qui fut fait. Il est à noter que cette petite collation a été offerte par notre club sous l'impulsion de notre président et la bienveillance de notre trésorière. Les finances étant bien gérées par nos trésoriers , l'ensemble des cyclos émettent le vœu que pour l'année 2015 une telle initiative se renouvelle  ..... 






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                                                La Fête à Louisou


                        Une quarantaine de personnes ont répondu présent à l'invitation faite par Louisou de festoyer avant le départ en vacances (pour certains) mais aussi et surtout pour fêter ses 4 fois 20 ans. A noter qu'une quinzaine d'épouses sont venues honorer de leur présence cette petite fête.
                        Cela s'est déroulé dans son pré, sur les berges de l'Adour, un endroit idéal pour pareille manifestation.
                        Comme à son habitude Eliane avait œuvré pour nous gratifier d’un apéro des plus copieux, tant et si bien qu'il avait presque apaisé l’appétit de tout ce petit monde. Qu'elle en soit une fois encore remerciée.
                        L'appétit revenu le repas se poursuivit dans la bonne humeur pour aboutir comme d’habitude avec les tartes aux abricots d'Eliane....quelle pâtissière !
                        Et petit à petit le jour s’éclipsa sur cette joyeuse tablée, mais Eliane avait tout prévu et on la vit apparaître  avec un fagot de chandelles qui éclairèrent toute notre soirée.
                        La fin du repas arrivant notre ami Blaise alla chercher son accordéon et votre serviteur sortit sa vieille clarinette oubliée depuis plus de quarante ans. Les chants du pays retentirent dans la nuit avec inévitablement Louisou comme soliste auquel vinrent se joindre les Henri, Guytou, Jacques F, Roland, Gérard, et même John, et oui, épaulés qu'ils étaient par le cœur des dames composé de Yvette, Roselyne, Cécile ....et j'en oublie.
                        Il faut dire que parmi nous 'il n'y avait pas que des "cigognes" car de temps en temps on percevait quelques "canards" et même parfois, tant ils étaient gros, on aurait dit des « oies ». Entre volatiles nous nous sommes compris et nous avons tracé notre chemin musical harcelés que nous étions par des hordes de moustiques sûrement dérangés par nos chants mélodieux.
                        A bout de souffle, la nuit étant bien entamée, d'un commun accord le groupe se dispersa non sans avoir remercié chaleureusement nos hôtes Eliane et Louisou pour nous avoir permis de passer un super moment de convivialité. On ne peut que souhaiter qu'il y en ait d'autres de cette qualité. 

                                                                                Pierre  






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SEMAINE CLUB à REMUZAT  du 25 Mai au 01 Juin 2013
La migration des Cigognes  s'est faite cette année du Sud Ouest à l'Est. Celles ci auraient elles perdu le sens de l’orientation ? Après le soleil ardent de l’Espagne elles ont préféré se poser dans un coin plus rafraichissant et vivifiant, la Drôme Provençale. En vol groupé le trajet fut agréable malgré le temps maussade du départ . Il est à noter quelques erreurs d'itinéraires après le déjeuner ou quelques volatiles se sont éparpillés dans la nature. Leur boussole interne les ramenant rapidement dans le droit chemin toute la troupe arriva en fin d'après midi à REMUZAT ou nous attendaient nos amis Christiane et Joël partis d'Alberville. Le compte y était, vingt deux personnes : quinze cyclos et sept dames. Sitôt nos chambres acquises , un peu de repos et nôtre premier briefing de la semaine est tenu par John le grand coordonnateur de notre séjour. Pas de bla bla bla mais ... un peu quand même .Dilemme : la météo annonce du très beau temps lundi  et paraît il du temps variable le jour programmé de l’ascension du Ventoux. Comme chacun le sait ce col mythique est parfois balayé par des vents impressionnants donc il ne faut pas plaisanter et choisir le bon créneau. C'est ce que nous faisons à l'unanimité, consignes , un peu d'humour, pot de bienvenue , dîner et repos bien mérité surtout pour nos chauffeurs. Il en sera ainsi des briefings tout au long de notre séjour . Chaque jour deux circuits nous seront proposés, le premier en une demi journée avec repas de midi au centre de vacances , le deuxième plus long et plus pentu en une journée en autonomie. Chacun faisant son choix suivant sa forme du moment, son aptitude, ses souhaits. Cela a permis également à ces dames de se défouler en montagne, de visiter sans avoir de contrainte vis à vis des cyclos, profitez, profitez nous saurons vous rappeler nôtre  haute bienveillance. Je ne vais pas vous faire ici l'historique de toutes nos sorties qui ont été à la hauteur de nos modestes moyens.Certains circuits étaient tout de même assez " hard " ; je pense notamment à la sortie du col de Penne.Nous avons découvert des paysages formidables et parfois à couper le souffle lorsque nous longions certaines gorges profondes. La nature changeait du tout au tout lorsque nous passions dans la plaine, là les oliviers étaient rois. Les champs de lavande, eux, étaient accrochés très haut dans la montagne . Il m'est impossible ici de vous décrire tous les villages hauts perchés que nous avons pu traverser à vélo ou visiter pour certains d'entre nous .Lors d'une de nos sorties promenade nous avons découvert un petit village (Cornillac) remis en état par des .... Belges ! Comme quoi la France est un pays cosmopolite mais vous le saviez déjà. Nous avons adopté des Anglais pourquoi pas des Belges, des gens très intéressants au demeurant.Toute la semaine s'est déroulée à ce rythme tranquille de retraités ( moins deux) , vélo, promenade, manger, dodo. Le dernier jour fut l'occasion de nous "lâcher" un peu lors d'une soirée ou le déguisement était de rigueur. Tous les participants ont joué le jeu et se sont costumés de pied en cap .Sur des musiques rappelant nos tendres années des couples hétéroclites aux têtes étranges se formèrent pour esquisser des danses assez extravagantes.Fatigue de la journée aidant tout le monde jeta l'éponge et un sommeil réparateur fit son œuvre. Le départ se fit comme prévu et le retour sur Tarbes sans encombre après un dernier repas pris dans un restaurant de Saint Gilles en Camargue. En conclusion et pour ne pas vous ennuyer  plus longtemps notre séjour a été une réussite dû à l'excellent travail de John  . Ah ! j'oubliais les copains restés en Bigorre.Nous avons eu une pensée pour vous qui avez subi durant toute la semaine des pluies diluviennes ce que nous avons pu constater lors de notre arrivée au quai  ou l'Adour avait submergé les berges. Vous vous rattraperez en roulant avec nous, le beau temps est annoncé pour les prochains jours.
 
 Temps à Rémuzat durant la semaine : variable, un peu frisquet le matin  pratiquement toute la semaine avec seulement une fin d'après midi avec pluie, impeccable pour rouler et visiter.
Environ 600 km de parcourus avec 9153 m de dénivelé positif

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SOUVENIRS , SOUVENIRS
Que nous reste t'il de nos années passées si ce n'est nos souvenirs qu'ils soient personnels, collectifs, tristes ou gais.Chacun d'entre nous garde en silence au plus profond de soi  toutes les mauvaises périodes qu'il a connu à des degrés différents et qui remontent parfois à la surface lors de moments de solitude. Heureusement que la nature humaine est bien faite et que le positif revient toujours au galop pour nous rappeler les bons moments de la vie. Instants de joies, d'amitiés, de convivialités que nous partageons en famille,  entre amis, entre copains. C'est ce qui prévôt pour nous au sein des cigognes, preuve en est lors de nos rassemblement sportifs, lors de séjours ou de repas festifs. Le temps passe et nous ressentons toujours la même envie de nous retrouver, de nous mesurer sportivement , bref  , nous sommes heureux d'être ensemble même en silence; être entouré de bons copains suffit amplement pas besoin de causer, parfois un regard suffit pour se comprendre,c'est un peu cela la complicité.Mais et il y a un mais qui est le déroulement d'une vie normale tel qu'on le voit dans la nature avec les arbres qui changent de saison en saison et des années . C'est pourquoi je vous propose d'aller vous plonger dans la rubrique photos "le temps qui passe" et remonter le fil des ans à la recherche d'une certaine jeunesse parfois oubliée . Certains ont beaucoup changé, d'autres moins . Quelques uns ont mis la tête à la fenêtre par grand vent ce qui a eu pour effet d'emporter cheveux et moustaches, d'autres sont sortis par temps de grésil , d'aucuns ont forcis, les jeunes dames étaient mignonnettes et pour ne pas les froisser elles sont encore charmantes ( excusez moi pour le changement de terme) mais moins sportives que nous avouons le. Vous remarquerez que les moments festifs de l'époque ressemblaient étrangement à ceux d'aujourd'hui, qui a parlé de changement ?  Peut être un jour verrons nous sur les tables côtoyer des tasses de tisane de tilleul ou verveine nos bonnes bouteilles mais par Bacchus nous Bigourdans veillons au grain. Je vous laisse donc à vos souvenirs et n'oubliez pas de nous faire part de vos commentaires.  

Souvenirs, souvenirs
Je vous retrouve dans mon cœur
Et vous faites refleurir
Tous mes rêves de bonheur

On dit que le temps vous emporte
Et pourtant ça, j´en suis certain
Souvenirs, souvenirs
Vous resterez mes copains

Extrait de la chanson   souvenirs souvenirs  (Johnny Halliday)


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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ET REPAS DE FIN D’ANNÉE 
La tradition a été respectée . En ce début du mois de décembre une quarantaine de personnes étaient présentes à notre assemblée générale de la saison cyclo 2012. Après les allocutions des divers intervenants que sont notre président, notre secrétaire et notre trésorière , le bilan de l'année étant positif que ce soit comptable, sportif  ou convivial une rétrospective photographique de la saison écoulée nous a été présentée.
Nous remercions pour cela Jean Claude qui outre la prestation du matériel nous avait fait un magnifique montage vidéo sur notre dernière décentralisée à Espelette dans le Pays Basque ainsi qu'un  petit rappel humoristique sur la sécurité. Certains et peut être certaines ont apprécié. Il s'est ensuivi ensuite pour clôturer cette journée l' inévitable petit repas pris en commun. Chacun a pu alors refaire quelques sorties ou se projeter dans d'autres défis au grand dam de ces dames qui parfois souhaiteraient que le vélo reste bien caché au fin fond du garage. Tard dans la soirée nous nous sommes quittés , nous devons sortir demain et il nous faut récupérer.
A l'année prochaine

 

 La mine réjouie de GUY qui distribue les diverses primes








 Notre assemblée générale

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JOURNÉE FAMILLE OCTOBRE 2012

Une journée bien réussie.

                        Dans la salle des fêtes d’ALLIER  parfaitement proportionnée pour notre petite fête, 65 participants se sont retrouvés pour notre journée familiale.
                        Tout avait commencé, pour 22 volontaires, par une promenade vers les coteaux afin d'atteindre le point sommital de la commune (501m et 180 m de dénivelé suivant la montre perfectionnée d'André). Au retour de nos randonneurs, avec une Mimi un peu éprouvée, ce fut l'heure de l'apéro musical animé par un trio de jazz en pleine forme et d'un John plein d'humour surtout lors de son "interview"  du trompettiste Gallois.
                        L'heure du repas ayant sonné, une poule au pot digne de Gargantua nous fut servie, précédée de ses perles du Japon et de son farci aux cornichons, ouf ! Et tout cela bien arrosé, bien évidemment.
                        Après le dessert, et le panier garni de 150 cannelés qu' Eliane avait confectionné, le phénoménal Tony reprit du service avec sa voix charmeuse accompagné de ses 2 acolytes.
                        L'heure de la pétanque ayant sonné et vu que le mauvais temps nous avait épargné (quelle chance), des parties très disputées eurent lieu sur le parking  tout proche, entouré de bancs ombragés, aubaine pour les spectateurs fatigués. Là nous avons vu de sacrées "mènes et un Janot Martin en pleine forme.
                        Puis, la montre ayant tourné, les départs se succédèrent ne laissant sur les lieux qu'une vingtaine de téméraires qui après avoir rangé presque toutes les tables s'attaquèrent à la belote, Christian avait tout prévu.
                        - A table, c'est l'heure du souper ! nous dirent les dames,  et on recommença avec le même menu que le midi. Dernier rangement et prise de rendez-vous pour 10 h le lendemain matin.
                        A 10 heures pétantes tout le monde était là, soit une dizaine de volontaires dont 2 dames. La salle fut nettoyée, nickel chrome, ainsi que tous les ustensiles de cuisine. JEF se chargeant de rapatrier toutes les gamelles au traiteur à LANNEMEZAN après avoir pris l'adresse auprès de Néné, merci à lui.
                        Donc journée parfaite où chacun à participé avec sa bonne humeur en sachant se rendre utile pour le bon déroulement de la journée.
                        Une mention spéciale pour Myriam et Clément qui en cuisine ont été formidables et se comportèrent comme de vrais  professionnels, chapeau !

                                                    Pierre


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UN PETIT TOUR EN PAYS BASQUE A PARTIR D'ESPELETTE

Notre président Pierre a tenu à commenter lui même notre sortie en Pays Basque ce qui m'a énormément fâché.N'ayant pu se confronter à nous lors des montées rapides des cols basques il a donc eu tout le loisir de contempler et d'enregistrer les paysages.Votre serviteur n'a donc eu qu'à recopier son récit ce qui m'a été difficile. Il m'a apparu toutefois nécessaire d'apporter quelques petites touches qui font mouche ce que j'ai fait sans aucun scrupule. Espérons toutefois que je ne sois pas sanctionné mais faute avouée est à moitié pardonnée.La censure est comme le chien elle aboie mais la caravane passe.
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Espelette,  une journée bien pimentée.

A un horaire inhabituel (6 h 30') le cortège de huit voitures s'ébranle du quai de l'Adour avec 22 participants (Raymond ne s’étant pas manifesté) dont  Gégé et son Pajéro tirant la remorque quasiment pleine.
                        Comme prévu, et après avoir traversé les beaux villages de la BASTIDE CLAIRENCE, HASPAREN, CAMBO, nous voilà à ESPELETTE à  8 h 30'. Fin prêts et après avoir réparé la crevaison imprévue de Guitou la colonne démarre à 9 h devancée par une Christine décidée à affronter les 3 cols de la matinée en compagnie de Bruno.
                        Le petit col de PINODIETA (176m) réveille les muscles froids puis arrivent les localités d' AÎNHOA et DANCHARIA.
                        Les 10 km du Puerto de OTXONDO (602 m) sont abordés franchement sous un ciel couvert. Col magnifique bordé de hêtres séculaires. Au sommet s'est l'attende : mais où sont passés Christine et Bruno ? On les croyait devant et ils étaient derrière ayant pris les grands boulevards à AÎNHOA. Photos prises c'est la grande descente vers ERRAZU.
                        C'est sur une superbe route en goudron enrobé que nous attaquons le col d’ISPEGUY (692m) qui serpente au milieu des bois puis des prés. Au sommet il y a un  petit vent froid et nos dames frileuses utilisant ce prétexte sont allées faire des emplettes dans la petite venta du coin. Christine n'a pas lâché le morceau et apparaît au bout de la ligne droite sous des applaudissements nourris.
                        Descente rapide vers St Etienne de BAÎGORRY, arrêt et visite par quelques-uns (suivez mon regard) de la belle église fortifiée.
                        Les coteaux d'IROULEGUY sont assez difficiles à avaler pour certains alors que d'autres se prenant pour des coureurs du tour de France  passent en trombe devant nos suiveuses qui leur indiquaient de tourner à droite vers LASSE . Ceux ci pensant qu'ils étaient applaudis, redoublent d'efforts  non mais... et filent tout droit vers St JEAN PIED DE PORT à la poursuite improbable de  Néné et Jacques qui eux avaient bien suivi les consignes ( étonnant de la part de Néné non ?). Les noms de ces illustres poursuiteurs ne vous seront dévoilés que dans 50 ans ...
                        La cidrerie est là avec dans le coin un figuier dont les fruits murs rappelant des cou.........ettes nous mettent en appétit. Quelques voitures de sports  arées dans le parking , dont une Maserati, font fantasmer notre gent féminine, il leur faut si peu de chose....
Mais c'est le moment de goûter au cidre que l'on se sert à la pissée et de passer à table.
                        Petit repas aux plats basques vite avalés et nous repartons vers St Jean Pied de PORT sous un beau soleil qui s'est enfin manifesté puis c'est la longue descente le long de la NIVE jusqu'à ITXASSOU ralentie par une casse de rayon du vélo tout neuf de Bobby qui a du prendre ( le cidre aidant)  trop de petites bornes fluo incrustées sur la ligne blanche. 
Dur de trouver la route du pas de ROLAND mais 11 y parviennent sous la conduite de John. Nos suiveuses sont là mais pas au bar prévu et nous avons failli les manquer. Les trois manquants ( les meilleurs) désorientés arrivent au pas de ROLAND , ne nous aperçoivent pas et repartent fissa vers ITXASSOU. Quatre téméraires vont monter le col de LEGARRE (327m) .Une fois arrivés à ESPELETTE ils nous dirons en arrivant (20' après) que c'est vraiment un col basque avec des pourcentages terribles.
                        Après le pot de l'amitié chez "DOSPI" (Dospital ancien joueur de rugby) la volée de cigognes a fait son repli vers TARBES après cette belle journée de découverte.
                                                           Pierre
PS: Voir photos dans l'album

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SORTIE DÉCENTRALISÉE DU VIC BIHL AU TURSAN

C'est sous la direction de CLEMENT, qui joua le premier de cordée et le tracteur de la remorque, que nous prenons la direction de GARLIN via la côte de GER pour arriver sur la place du village.
                        Une fois la photo prise nous démarrons mais au bout de quelques km la roue arrière de GUITOU commence à danser la gigue. A ARZACQ arrêt chez un marchand de vélo qui s'avère impuissant pour dévoiler les roues !! Nous décidons donc de poursuivre jusqu'à MORLANNE. Là nos dévouées suiveuses nous attendaient devant le beau château et ses parterres fleuris.
                        La visite faite nous avons le plaisir de voir disposés sur le coffre de la voiture de CHANTAL, cafés, gâteaux au citron faits maison, tourtes, pains aux raisins etc ....quelle aubaine .... Et là JOHN nous lâcha son plus beau " O my god " (que l'endroit est beau), je vais devoir y amener KATE  (pour voir l'envers ?) ... c'est vrai que MORLANNE est magnifique ..

                        Retour au vélo de GUITOU : grâce à une clé à rayons qui avait suivi, les réparateurs de chocs GEGE  et CLEMENT parvinrent à lui dévoiler la roue et c'est reparti au milieu des verts vallons , MONGET, SAMADET, GEAUNE, .... puis après deux crevaisons c'est AYDIE et son relais qui se profile.
                        Bon repas au resto pour un prix défiant toute concurrence. Nous repartons sous un ciel bâché (couvert), on va se mouiller?
A ARROSES, erreur de parcours et nous nous retrouvons à CROUSEILLES en face du château. Mais à quelque chose malheur est bon car un défilé d'une centaine de vieilles voitures nous est annoncé par des gens au bord de la route, attendons. Et voilà les BUGATTI les DELAHAIE et que sais-je encore qui arrivent (voir photos). Nos dames sont tellement admiratives qu'elles nous laissent repartir seuls (nuages obligent) pendant qu'elles assistent à la suite du cortège.
           
            Nous retrouvons notre chemin. Les bons puristes s'évertueront à faire le parcours prévu alors que le gros de la troupe un peu entamé préférera le" plat pays", pas tout à fait plat car la côte de CASTETPUGON et surtout celle de l'arrivée à GARLIN avec ses 15 % au bout de 120 km feront grincer quelques pignons et je crois quelques dents....
                        Pour apaiser les organismes et remonter le mental le pot de l'amitié sur la terrasse du bar du "MARCADIEU" de GARLIN terminera une belle journée bien remplie.

                                                                                                                      Pierre

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SEMAINE CLUB à ROSAS du 26 MAI au 2 JUIN 2012

Cette année encore l'Espagne a eu notre préférence pour notre traditionnelle semaine club. Le choix de notre point d'attache s'est porté sur la ville de Rosas (Roses officiellement en Catalan), ville touristique dont son immense baie fait partie d'une des plus belles du monde. A cela nous pouvons ajouter son côté historique avec sa forteresse qui par le passé protégeait la ville des envahisseurs. Le décor étant fixé nous voila donc le samedi 26 Mai aux environs de 13 h 30 devant notre hôtel Ciutadella  situé à environ 200 m de la mer. Déjà des envies de farniente et de petite sieste sur la plage se font sentir, remettons ça à plus tard et concentrons nous sur les parcours qui nous attendent.
Dès le premier jour après la traditionnelle photo de groupe nous nous élançons tranquillement dans l'arrière pays pour revenir ensuite  sur les rivages de la grande bleue.Le calme est là , le soleil est au rendez vous, la journée s'annonce sous les plus beaux augures. Dès le départ les routes sont ombragées et les chênes lièges qui les bordent sont rois. La montée jusqu’à Sant Pere de Rodes avec ses senteurs de genêts odorants est magnifique.En haut du col ancré dans la montagne et dominant la mer le monastère sommeille ennuyé quelque peu par les touristes et par ...... Francis qui est monté jusqu'à lui . La descente sur le Port de la Selva est assez délicate car la route est mal entretenue et nous devons rester vigilants. Port de la Selva, petite station balnéaire à caractère familial nous offre une tranquillité appréciée et nous nous y arrêtons pour nous restaurer. Tout notre staff est là ( les dames accompagnées de Charly) et a tout préparé de façon admirable. Il faut leur rendre hommage car d'un bout à l'autre du séjour leur dévouement et leur bonne humeur nous a permis de passer un agréable séjour. Direction Cadaquès , visite en bordure de mer puis remontée vers Rosas. 126 km d'avalés, journée admirable, repos et paséo réparateur en bord de mer.
Le deuxième jour restera dans les mémoires de par sa particularité. Le parcours s'annonçait des plus attrayants dans la région des Volcans de Garrotxa. Les soixante premiers kilomètres sont parcourus à allure normale tout en admirant des paysages nouveaux .A l'heure du repas de midi nous avons un peu tergiversé quant à la route à emprunter. Carte à l'appui  la route sur laquelle nous sommes est la bonne. Quelle ne fut notre surprise en constatant que l'itinéraire que nous devons emprunter et qui doit franchir un col s'avère être une piste des plus rustiques qui soit ( tas de graviers, ornières etc..) . Des guardias civils de passage nous disent que c'est la seule possibilité pour passer et que celle ci est mauvaise sur 5 km. Merci pour le renseignement, ils avaient oublié de nous mentionner qu'il y avait autant de kilomètres de descente dans les mêmes conditions. D'un commun accord nous nous y engageons , le sol est sec et avec un brin d'attention nous pourrons atteindre notre but. Nous sommes tous concentrés sur nos machines , quelques dérapages sur le gravillon ainsi que quelques chutes sans gravité nous incitent à la prudence. Le ciel s'assombrit de plus en plus, quelques gouttes se font sentir , un éclair jaillit , le tonnerre donne de la voix, c'est le déluge, Vulcanus est en colère.Nous ne nous voyons plus, ou sommes nous, que faisons nous ici, quelques uns tentent de s'abriter, d'autres montent ce qui reste à pied, la route est impraticable. Notre camping-car et les voitures suiveuses ont franchi le col tant bien que mal et leurs occupants sont inquiets car rares sont ceux d'entre nous qui sont passés.Une maison avec abri a été repérée par nos voltigeurs de tête en bas du col et nous nous y engouffrons au fur et à mesure de notre arrivée . Tout le monde est là , trempé jusqu'à la moelle, transi de froid , aucun bobo à signaler, aucune crevaison . Nous arrêtons là notre périple et après un séchage rapide et une bonne alimentation direction Rosas ou le soleil brillait !!
Le troisième jour fut un régal.Parti de Rosas notre groupe de joyeux lurons roule tranquillement vers la France par le bord de mer.Nous sommes sur la nationale mais la circulation que nous redoutions est pratiquement inexistante du fait de l'autoroute proche.Passé le village de Coléra ou quelques unes de nos accompagnatrices nous ont gratifié de quelques facéties nous montons le col des Balistres entre Portbou et Cerbère . Point frontière entre France et Espagne nous avons une vue superbe sur la mer et sur tout le littoral. Quelques photos sont prises et notamment celle d'une stèle rappelant la Rétirada , triste épisode de la guerre civile d'Espagne qui a vu des cohortes de femmes, d'enfants et de soldats républicains en février 1939 venus se réfugier en France.A Banyuls sur mer et son fameux vin doux que nous n'avons pas eu le temps d'apprécier nous prenons la fameuse route des vignobles et de la tour de Madeloc . Ces vignes disposées en  terrasses face à la mer forment un paysage de carte postale de  toute beauté et donnent un aperçu du savoir faire des viticulteurs catalans. Tous ceux qui pouvaient encore savourer cette "petite montée" en pédalant ont pu apprécier, quant aux autres ..... Trois d'entre nous sont montés avec leurs vélos à la Tour de Madeloc. Par pudeur, les noms de ces guerriers ne seront pas cités pour ne pas nuire à la réputation des autres.No coment.Vue magnifique d'en haut jusqu'à Argelès sur Mer.Le retour à Rosas s'est déroulé dans de très bonne conditions.Quelques uns se sont dirigés jusqu'au coll de Frare d'altitude 202 m ( ancienne route) au lieu d'emprunter le Tunnel. Une vue magnifique sur la mer et sur les communes de Coléra et de Portbou nous a séduit. Après 120 km de promenade notre journée s'achève tout à fait naturellement par la prise en commun de quelques verres de Sangria . Question: est ce un produit dopant ?
Quatrième jour. Nous sommes partis faire un tout petit tour pour nous décrasser en bordure du  parc naturel jusqu'au lieu dit Montgo  en passant par Sant Pere Pescador. Montgo,  crique minuscule bien abritée ou trois d'entre nous ont piqué une petite tête bienfaitrice. Pendant quelques kilomètres le retour de ceux ci s'est fait en danseuse . Il aurait été anormal que certains d'entre nous ne soient pas tentés de faire  une petite "montée en puissance" avant d'arriver à Rosas. Clément, Jeff ainsi que Charly ont participé à cette fin de décrassage ( motif : apéritif à préparer). Pour info, une cigogne et une vraie a été aperçue en bordure du parc naturel. L'après midi quartier libre avec baignade pour quelques uns ou visites des environs pour d'autres.
Cinquième jour. Le but à atteindre était la station Vallter 2000 (2145 m) en passant par le Coll de Capsacosta , Setcases et Camprodon. Départ après Olot au pied du Coll de Capsacosta que nous avons gravi d'entrée de jeu. Celui ci est très régulier et nous l'avons monté tranquillement sachant la difficulté qui nous attendait . Setcases petit village de montagne avec son entrée très fleurie ou encore une fois nos accompagnatrices zélées ont joué aux jardinières avec un préposé du village. Intenables.Dur, dur la grimpette pendant 11 km . On a envie parfois de mettre le pied à terre mais celui de devant avance alors on essaie encore, peut être qu'après le prochain virage la pente va casser un peu, et bien non, peut être après le suivant et ainsi de suite jusqu'à la station. Ouf on y est ce n'est pas trop tôt.Le ciel se couvre il est temps de redescendre.Jacques B s'arrête et me montre quelques isards sur un pierrier . La descente est très rapide, arriverons nous en bas avant le déluge.Oui , il était temps mais il nous a fallu tout de même nous abriter pour manger sous ...... un abri ... à poubelles, appétissant non ? mais ne faisons pas les difficiles. Retour vers le coll de Capsacosta avec comme chef de file Néné qui comme à son habitude dans un rond point a été tout droit alors qu'il fallait tourner à gauche.Mal lui en a pris car c'était le début du col et quelques uns de ses amis en ont profité pour lui placer une petite banderille ( pas méchante, quoi que) dont il se souviendra.
Sixième et dernier  jour de vélo. Le départ se fera de Darnius , village d’où nous étions déjà passé lors d'une autre de nos sorties.Direction aguilla puis La Vajol sur des routes calmes et superbes jusqu'en haut du col de La Vajol ou précisement du Coll de Manrrella frontière entre France et Espagne. Un monument , comme beaucoup sur cette frontière, à la mémoire de LLuis Company martyr de la guerre civile est là sous les arbres.La route goudronnée s'arrête là.Coté français une piste caillouteuse mais sèche (quel luxe) nous mènera jusqu'à la sortie de Las Illlas. Nous avons failli nous perdre dans ce labyrinthe de petites routes . La D13 et ces 180 virages (dixit un autochtone) nous mènera à la commune de Maureillas las Illas . Nous avons attendu fort longtemps notre voiture suiveuse et nos portables ne fonctionnant pas dans cette zone l'inquiétude commençait à se faire sentir. Enfin la voila. Que s'était t'il passé.C'est tout simple, Maryse qui avait fait un brin de chemin à pied avec nous sur la charretière et la distance à parcourir jusqu'au dur étant faible a décidé en bonne marcheuse qu'elle est de terminer à pied pensant que les voitures la rejoindraient. Mal lui en a pris les voitures avaient opté pour un autre itinéraire . Perdue dans la nature notre Maryse. Retrouvée au village de Las Illas en train de faire du shopping (quel menteur). Nous passons ensuite Céret bien connu pour ses cerises, traversons Amélie les bains , à la sortie d'Arles sur Tech  nous nous arrêtons pour un petit casse croute bien mérité avant le col. Celui ci est passé allègrement et ensuite pratiquement que de la descente  jusqu'à Darnius. Super.
Ainsi s'achève  notre dernière sortie. Total  environ 580 km et près de 7 000 m de dénivelé positif.
Après avoir dégusté un bon petit cassoulet à Castelnaudary le retour sur Tarbes se déroulera sans incident  . Tous les participants sont remerciés pour leur bonne humeur et leur adaptation à toutes les situations.L’hôtel Ciutadella fut conforme à ce que nous souhaitions que ce soit au niveau des repas du soir comme des petits plats individuels du midi.
Pour mémoire: Vous avez tous remarqué dans le paysage de Rosas un hybride d'arbre particulier. Pas le pin parasol mais le parasol coloré. 
Étymologie issue d'un dictionnaire inconnu : parasol coloré , arbre de couleur rose, jaune ou autre couleur vive poussant dans la région de Rosas et en particulier autour des ronds points qui a la particularité d'offrir un fruit mûr exotique partiellement dévêtu et frôlant l'érotique. Fruit d'apparence appétissante, à chair ferme à consommer avec modération et avec précaution .

Vingt cinq personnes ont participé au séjour: Quinze cyclos et une cyclote, neuf accompagnatrices et un accompagnateur.





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SORTIE DÉCENTRALISÉE A TACHOIRES GERS le 12 Mai 2012

Entre deux journées très belles la météo annonçait un samedi mitigé; bruine et pluie serait là. Heure après heure nous suivons l'évolution du temps à la météo en espérant qu'un vent favorable face fuir le mauvais temps. Pierre et moi sommes sur les dents,que fait-on ? Nous nous lançons à l'eau, advienne que pourra, la sortie décentralisée est programmée donc inch'allah. Pierre nous mène directement chez son beau frère habitant de ce village gersois. Aucun problème pour se garer dans cette vaste propriété. Cécile, Chantal, Roselyne et Manin nous préparent un petit en-cas avant de démarrer. Le temps est gris, un peu frais mais pas de pluie, ouf.
Photo de groupe et nous voilà partis (du déjà dit , est ce un hasard les cloches de l'église égrènent 9 coups)  pour un périple de 130 km dans la campagne gersoise. Le bon rythme est pris et nous roulons cool car le retour est plus pentu. Notre ami Henri équipé de son altimètre dernier cri ( il ne lui manque que la parole) nous annoncera à notre arrivée 1200 m de dénivelé positif. A quelques kilomètres de là  le premier petit village pittoresque Castelnau-Barbarens  nous invite à la visite. Une rue assez pentu pour arriver à l'église nous cueille à froid et en a surpris plus .Nous continuons ainsi de villages en villages ( Montfort, Mauvezin, Fleurance). A Mauvezin nous nous arrêterons quelques instants près de la stèle commémorative de Roger COUDERC célèbre journaliste, féru de Rugby et chauvin invétéré de l'équipe de France. Son franc parler et sa devise "allez les petits" sont ancrés dans toute les mémoires.Puycasquier est là avec comme toujours dans ces villages une grande halle typique de cette région. Nos accompagnatrices dévouées ont choisi cet endroit abrité pourvu de tout le confort nécessaire pour notre repas de midi ( il est 13 h !) . Ne croyez pas que j'ai oublié notre indispensable et chef de rang Jeff qui supervise le tout . N'étant pas au mieux de sa forme pour rouler  il a tenu a être présent parmi nous et c'est avec l'efficacité et l'amabilité qu'on lui connait qu'il nous a ravitaillé superbement. Je n'en jette plus la cour est pleine.Petit café et nous voila sur le chemin du retour. Gimont , patrie de notre Roger (pas Néné) ou nous devions voir sa maison natale. Nous montons en haut du bourg. Pierre passe devant , nous redescendons , nous n'avons rien vu. Notre président nous a déjà fait le coup au village de Sarrance dans la vallée d'Aspe.Quelques petites côtes bien avalées au retour et nous revoilà en vue de Tachoires. Nous sommes tous là ? non,  il en manque quelques uns qui s'étaient égarés quelques kilomètres plus tôt dans la campagne.Vous connaissez tous quelques farfelus d'entre eux appelés amicalement par nous les GPS , TOM TOM et autres... Quelques minutes plus tard ils sont là, chambrés comme toujours.Le timming a été tenu , il est 17 h , petite boisson rafraichissante et retour à Tarbes. Une excellente journée qui s'est déroulée dans une bonne ambiance. Il faut dire un grand bravo à notre unique féminine Françoise qui a réalisée la sortie sans sourciller, quelle pêche !!
Nous étions 21 cyclote-cyclos , 4 accompagnatrices, Jeff et un ami de John qui a roulé avec nous.

Quelques photos dans l'album
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JOURNÉE FAMILLE CODEP 65  à MAUBOURGUET LE 08 MAI 2012

La journée famille a eu lieu cette année à Maubourguet et comme à chaque fois très bonne organisation de la part du club de Maubourguet avec des passionnés toujours fidèles au poste, grand merci à eux. Le Club des Cigognes était fort bien représenté avec de nombreux cyclos et leurs épouses . Vous pourrez tout à loisir les admirer dans des poses que notre photographe artiste Jean Claude les a croqué. Nous pouvons également admirer un novice de la pétanque ( mieux vaut tard que jamais) ainsi qu'une petite démonstration de dégustation d'un petit sucre imbibé de potion magique.Pour ne pas me créer d'ennui je ne citerai pas son nom.Deux bigourdans bérets vissés sur la tête nous font penser à des bergers plutôt qu'à des cyclos: ils se préparent peut être pour la transhumance.
Les photographies de la journée sont disponibles dans l'onglet photo
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SÉJOUR à ESCALONA  (du 13 au 15 Avril 2012)

La météo espagnole nous prédisait un temps plus que mitigé et nous pouvons dire qu’elle avait en partie raison.Départ donc vendredi matin du quai de l'Adour à l'heure fixée un peu en ordre dispersé dû à l'éloignement de certains de nos compagnons mais avec rendez vous à Sarrancolin afin d'effectuer un premier regroupement. Dix heures pétantes, nous repartons rejoindre Blaise l'enfant du pays à Cadeilhan Trachère. Ensuite longue montée jusqu'au tunnel d'Aragnouet et descente jusqu'à Escalona ou nous irons pique niquer à l'entrée du cañon d'Anisclo . Prise de possession de nos chambres, montage des vélos et sans perdre de temps petite grimpette à froid jusqu'aux villages de Puertolas et de Bestué. Nous effectuerons ainsi tranquillement environ douze kilomètres de montée à 8 % de pente. Nos accompagnatrices quant à elles nous ont devancé afin de visiter ces petits villages pittoresques éloignés de tout qui étaient abandonnés mais qui sont aujourd'hui en partie restaurés . De la haut, vue imprenable sur la Peña Montañesa et las Très Marias enneigées.Retour à Escalona en douceur et comme nous l' avions décidé avant de partir nous n'irons pas jusqu'à Tella mais ferons plutôt un parcours moins pentu afin de nous économiser pour le lendemain matin. Bien nous en a pris.Donc direction Laspuña, petit balcon surplombant le Rio Cinca situé en face de notre hôtel .Une petite montée d'environ 1 km assez raide mais sur une route rendant bien . Ce petit  village est traversé rapidement .La pente nous paraît ensuite moins ardue mais ce n'est qu'une illusion car le profil du terrain nous trompe et c'est avec le petit plateau que la majorité d'entre nous poursuit sa course. Aucun bruit autour de nous si ce n'est le halètement de quelques cigognards .Nous arrivons ainsi au pied de la Peña. Vue magnifique sur la vallée.Nous poursuivons à flanc jusqu'à Los Molinos , puis via Ainsa retour à notre point de départ vent de face, dur dur ces quelques deniers  kilomètres.Cette première journée  que nous qualifierons de très acceptable pour rouler est terminée, 63 km et 1280 m de dénivelé cumulé. Petites cañas réconfortantes, plaisanteries , una pequeña cena y todo el mundo a la cama.Samedi matin après un petit déjeuner copieux comme toujours en Espagne nous entamons le parcours qui devait être l'apothéose du week end.Cent vingt et un  kilomètres étaient prévus avec montée au parc d'Ordessa et retour par Fanlo . Il est neuf heures, le ciel est légèrement gris et l'air assez frais ( il a gelé) mais qu’importe nous nous élançons direction Ainsa en deux groupes dits de sécurité de sept cyclos à allure très raisonnable. Nous traversons Ainsa  ainsi d'ailleurs que tous les autres villages sans encombre, pas âme qui vive.Nous avançons direction Boltaña sur un faux plat montant, longeons sur notre gauche des ravins, apercevons trois mouflons sur une arête , nous arrêtons quelques instants pour admirer le paysage car nous sommes là également pour cela et repartons "tranquilous comme Batistou". Sur notre gauche, accrochée sur les cimes alentours, de la brume ; cela ne nous dit rien qui vaille .Le village de Sarvisé est là ,croisement fatidique, ou nous allons à Torla et montons au parc National d' Ordessa ou nous rentrons directement  par Fanlo.Des agriculteurs sont là et connaissent bien la région. Ils nous conseillent même de rentrer par le même itinéraire d’où nous  sommes arrivés si nous voulons être secs car en haut il doit neiger. Brrou, la décision est vite prise mais on grimpera à Fanlo, s'est quitte ou double.Nous ne perdons pas de temps et entamons  la grimpette de suite de façon irrégulière, creux et bosses se succèdent jusqu'à ce que un panneau indique: FANLO 4,8 km et là ........ Blaise et moi sommes ensembles et décidons d'y aller tout doux, de toute façon nous n'avons pas le choix. Tous les autres sont soit devant soit derrière avec la même intention, arriver en haut le plus confortablement possible.Néné nous annonce du 9 % partout et parfois du 10.  Nous arrivons tous dans un mouchoir de poche, s'est gagné, aucune fatigue apparente, pose photo, quelques flocons de neige s'éparpillent ici ou là et  maintenant se sont 28 km de descente qui nous attendent. Nous nous arrêterons un peu plus bas pour casser la croute dans un endroit choisi par nos accompagnatrices, sous un pont au bord d'un torrent. Nous atteignons ensuite  la bifurcation de Vio et du cañon. Nous empruntons la route touristique, admirons l'ermitage point de départ des randonnées pédestres dans le cañon et vers  le Mont Perdu .La route est étroite, sur la droite le rocher, sur la gauche de profonds et vertigineux précipices, John en tremble encore.Il est vrai que le site est impressionnant mais magnifique et cela sur environ 10 km. Nous arrivons à Escalona juste avant un petit orage,Ouf nous sommes tous là, tout c'est bien passé, aucun ennui mécanique, aucune crevaison (83 km et 1250 m de dénivelé). Repos , douche, et petite virée touristique à Ainsa et Boltaña. Ensuite comme d'habitude petit souper, repos bienfaiteur. Il est dimanche, réveil , petit déjeuner, départ, arrêt à Bielsa pour quelques emplettes montée jusqu'au tunnel, la neige est sur les cimes. Côté français tout est enneigé sauf la route, nous avons de la chance. Arrêt à Saint Lary ou notre autochtone se fait un plaisir de nous commenter l'endroit et nous montrer sa maison à Cadeilhan Trachère, petit balcon situé au dessus de cette ville.Nos estomacs gazouillent et le restaurant de Hèches que Blaise a retenu nous ouvre ses portes; je ne m'attarderai  pas ici sur le menu, pantagruélique,savoureux bref impeccable. Le retour se fait sans aucun problème si ce n'est un peu de pluie venue nous agacer mais trop tard nous sommes arrivés. De l'avis de tous, excellente sortie très conviviale comme à l'accoutumé. Préservons encore longtemps cette façon de  faire alliant le côté sportif, le respect et la camaraderie et nous aurons encore de bons moments à passer ensemble.
18 personnes étaient du voyage : 14 cyclos et 4 accompagnatrices.

Photos visibles dans l'album
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Les CIGOGNES prennent leur becquée Pascale chez les BERGERONNETTES.

Après quelques années d'invitation chez notre ami Henri de MOULEDOUS et par une belle journée du mois d'Avril la section cyclo a renoué avec la vieille tradition de l'Omelette Pascale.
Cette année le choix s'est porté sur le charmant petit village de BARTRÈS et son sympathique resto des " BERGERONNETTES" .
Pour se faire, et par des chemins différents, deux détachements se sont rendus en ce lieu blotti au creux d'un vallon juste au-dessus de LOURDES.
Tout d'abord 16 cyclos partis du quai de l'ADOUR via BOURS, BAZET, OURSEBELILLE, IBOS, OSSUN, TOULICOU, ADE arrivèrent à point nommé après un peu moins de 40 km.
 Le second groupe, celui des marcheurs, une fois rassemblé sur le grand parking de BARTRES, s'en est allé faire une petite marche à la rencontre de la pré-histoire. Pour commencer, et dès le départ, ce fut le menhir de la "Peyre Hicade", puis le champ de tumulis et enfin le "Pouey Mayou" ( le plus grand dolmen des Pyrénées) .
Aux alentours de midi, une fois tous regroupés sur le balcon des Bergeronnettes, soit 30 participants, nous avons pu déjeuner dans ce restaurant qui pour l'occasion était plein comme un œuf ( de Pâques).
A l'issue de ce bon petit repas fort apprécié, cyclos et marcheurs se sont dirigés vers la grange de BERNADETTE à quelques pas de là dans une joyeuse ambiance. Puis devant la "borde" (grange) nous avons tous posés pour la postérité .
Les 2 groupes se sont à nouveau séparés:  les cyclos ont mis le cap sur LOURDES et le bas de LOUCRUP afin de raccompagner ALAIN à ORINCLE en toute sécurité (hi,hi,hi !!) puis retour via JUILLAN et SOUES.
Les marcheurs,quant à eux , jamais fatigués sont allés finir l'après-midi ( ou plutôt digérer) tranquillement autour du lac de LOURDES.
Et voila comment les cigognards du vélo ont utilisé leur Lundi de Pâques en conservant leur tradition bien aidés par le temps qui contribua d'une façon  magnifique à la réussite de cette journée. 
                                                                                                        
 Pierre

 Voir dans onglet Album photos omelette Pascale 09 Avril 2012
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Journée famille du 18 Octobre 2011

Ce début de matinée est de bon augure car un un temps magnifique s'est déjà installé et annonce une bonne journée. Déjà quelques travailleurs de l'ombre sont aux fourneaux tandis que d'autre se prélassent encore devant leur écran télé en regardant le match de rugby de la coupe du monde Pays de Galle - France. Douze heures sonnent au clocher de l'église de Bernac Debat et les premiers invités se manifestent. Des tables ont été mises à l'extérieur pour le traditionnel et incontournable apéritif. Nous y sommes, tout ce petit monde est là donc à votre santé mesdames et messieurs et que la fête commence .Comme au théâtre les différents acteurs refont parfaitement les mêmes scènes que les années précédentes.Acte 1 : apéro et discussions diverses;  Acte 2 : repas et discussions diverses ; Acte 3 : départ ou pétanque avec discussions diverses; Acte 4 : finitions des plats et discussions diverses . Vraiment les discussions diverses prennent beaucoup de place il est vrai qu'ici dans le Sud Ouest les gens ont la langue bien pendue et tant mieux sinon quelle tristesse. Pour animer et donner de l'entrain à cette journée notre Pierre bien aimé (je dégoupille un tantinet) nous a fait la surprise d'inviter un excellent orchestre de jazz qui se produit régulièrement dans un établissement de Tarbes lors de soirées Jazz.C'est un groupe de copains et de talentueux musiciens. Parmi eux Luc le fils de Pierre à la guitare solo, Jacky le batteur , Florent à la guitare d'accompagnement, Roland au saxo et Guillaume à la basse . Parmi eux deux de nos anciens collègues et copains de travail. Ils nous ont joué une partie de leur répertoire que tous les férus de cette musique ont apprécié (n'est ce pas Jeff). Je ne vais pas ici détailler le repas , tout ce que l'on peut dire c'est que la paella était excellente et copieuse et que l'ambiance comme d'habitude était parfaite,  il ne pouvait pas en être autrement. Nos petits ventres bien redondants quelque uns d'entre nous ont papoté assis à leur place, d'autres ont esquissé quelques pas de danses pour digérer,bref tout ce qui se fait en de telles occasions. L'heure du départ a sonné pour certains couche-tôt , pour d'autres les parties de pétanque vont commencer et s'achever un peu plus tard dans la soirée . Il s'ensuivra ensuite un autre "léger" petit repas ( il faut bien finir les plats) avec une petite mise en train assurée par Blaise et son accordéon. Rangement, fermeture du local , bonne digestion et bonne nuit. Nous devons tirer notre chapeau une fois encore à notre ami Roger dit néné et Roselyne pour leur  implication et leur  efficacité lors de cette journée famille. Merci également à tous ceux qui se sont également manifestés pour la préparation des tables etc..
A une prochaine rencontre.
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Week end à HENDAYE les 8 et 9 octobre 2011

Le vendredi 07 octobre tout ce petit monde était ponctuel au rendez vous donné au quai de l’Adour. Treize personnes , neuf cyclos et quatre accompagnatrices épouses de certains d'entre nous étaient du voyage.Le temps était variable mais sans pluie donc cela s’annonçait pour le mieux.Deux heure plus tard nous étions au camp Auguste Delaune et prenions possessions des 3 chalets. Cinq célibataires d'âge mûr d'un côté et les couples de l'autre.Déjà l'on commence à parler ripaille et quelques voitures se dirigent vers Irun pour s'approvisionner. Nous en profitons pour faire le plein d'essence et du reste dans la limite fixé par la loi.Retour au camp, les tables sont mises dans un seul chalet, c'est plus convivial, tous ensemble, tous ensemble....Je ne me répèterai pas encore une fois en disant que les pâtes etc... étaient excellentes et nous ne pouvons que féliciter et remercier encore une fois nos charmantes accompagnatrices que sont, Cécile, Chantal, Roselyne, Myriam qui ont encore une fois organisé tout cela avec le plus grand soin, en plus d'en supporter certains....
La nuit se passe tranquillement ponctuée de ci de là par quelques ronflement intempestifs. Le jour se lève, les célibataires sont prêts, les autres mettent du temps à réagir . Il n'est plus temps de "coucougner", debout là dedans.Le temps est incertain, au loin l'océan est gris. Il est environ neuf heures et nous nous élançons direction Saint Jean de Luz par les falaises ; Guéttary est là , nous quittons la nationale et empruntons une petite route direction Arcangues, lieu de rencontre avec nos dames. Le circuit est vallonné mais à petite allure nous arrivons en ce lieu incontournable. Un golf, quelques maisons, une petite église et comme partout un cimetière . En contrebas nous trouvons la tombe du légendaire chanteur Luis Mariano, petite tombe toute simple mais très fleurie  ou repose cet homme si populaire.Petite photo souvenir et en route vers saint Pée sur Nivelle que nous traversons rapidement pour atteindre Ascain et franchir le col de Saint Ignace. La Rhune, Sare , puis un petit col  pas très dur et enfin Vera de Bidassoa ou nous allons directement au restaurant de l'année dernière. Comme d'habitude très bons accueil et repas excellent.ensuite nous décidons d'un commun accord (sauf deux, Guy et Clément qui ne se sent pas trop bien) de grimper le col d'Ibardin. Petite formalité accomplie tous groupé. C'est bien de monter dans de telles conditions en discutant. Le temps menace, nous descendons le col et prenons la direction d' Urrugne. Il ne reste qu'une quinzaine de kilomètres quand tout à coup , Broummm, sans crier gare l'orage nous tombe dessus, rien à faire si ce n'est rouler. Nous entendons une méchante langue dire" j’espère que Clément et Guy vont également essuyer le petit grain" , nous lui disons que ce n'est pas bien mais en pensons tout autant.
Toutes les cigognes sont rentrées mouillées mais heureuses, la journée a été excellente, quand est ce qu'on dîne, encore !! Soirée identique à la première, digne de Pantagruel avec en plus blagues et rires.La nuit nous enveloppe et un sommeil réparateur nous berce. Il est sept heures (Paris) non Hendaye s'éveille. Il a plu toute la nuit. Nous mettons le nez à la fenêtre. Fera t'il beau , il fait encore trop noir pour le dire. Nous sommes tous en tenue, quelques uns commencent à frissonner , ils étaient mieux au lit. D'autres décident d'attendre dix heures, si cela se lève un peu on y va. Le circuit programmé est le Jaizkibel côté San Sébastien. Le Jaizkibel sort sa tête de la brume, c'est bon signe, on y va. On, s'est Guy, Henri et Jacques. Nous croisons des cyclos autochtones donc tout va pour le mieux il connaissent bien la météo et les caprices du temps du pays Basque.
Jusqu'à Pasajes  nous progressons avec prudence sur une route deux fois deux voies avec une bande d'arrêt d'urgence assez large. Il est à noter que les Espagnols ont une autre mentalité que chez nous envers les cyclistes et jamais nous n'avons été klaxonnés ou serrés de près. Pasajes, nous prenons une petite barre et attaquons le col qui affiche une pente d'environ 8 % sur quelques kilomètres mais nous somme là pour cela alors...Nous apercevons le haut du col et au terme d'un faux plat d'environ un kilomètre nous rejoignons nos compagnons qui sont venus nous saluer avant d'aller faire un petit tour à San Sébastien, sympa.Nous nous arrêtons un peu plus bas pour visiter quelques vestiges Romains.L'épopée ou Guy nous a entrainé mérite d'être citée.Celui ci nous a amené jusqu'aux immenses antennes au point le plus haut du Jaizkibel , par une petite route étroite, le devenant de plus en plus et jonchée de crottes de moutons à tel point que nous avons fini à pied et les pieds dans la m..... Petit nettoyage du vélo et des chaussures et descente rapide jusqu'à Hendaye .Changement de tenue et direction un restaurant du bord de mer ou nous avons pu nous restaurer à l’extérieur sous un parasol par un temps magnifique.Retour à Tarbes, fin de notre agréable séjour.


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 Tourisme en vallée de Lescun et vallée d'Aspe le 27 Août 2011

Asasp -  Arros, point de départ de notre périple en Béarn.Il est environ neuf heures quand après avoir garé nos véhicules en plein centre du village nous décidons de démarrer. Nous préparons nos machines quand tout à coup un orage fond sur nous. Repli des plus précipité dans les voitures. Quelques minutes plus tard, plus rien et personne ne bouge. Les plus intrépides commencent à se vêtir . Les autres, un par un mettent le nez à la fenêtre et s'armant de courage s'équipent également. On entend les plus récalcitrants ronchonner un peu mais nous n'en faisons pas cas , ça leur passera.Le ciel est sombre mais la météo a annoncé des éclaircies, donc en avant marche ou plutôt roule. Direction Lourdios à allure raisonnable . Arrêt sur le pont de Lourdios ou  nous contemplons de belles truites dans le torrent. Quelques méchantes  langues vont même dire en plaisantant  que c'est la réserve personnelle de notre célèbre député Jean Lassalle, grand défenseur de ces vallées du Béarn.C'est après ce village et direction le col de Labays que les difficultés commencent , ce sont les fameuses gorges de Lourdios que nous longeons tout en montant. Des pourcentages que nous nommeront de convenables de 7 à 10,7 % pendant quelques kilomètres nous tendent  les bras . Nous y allons franco . Dommage qu'il y est eu cette petite bruine mais positivons quand même car elle nous a rafraichi tout le long de l’ascension.Quelques uns d'entre nous s’échappent et filent jusqu'à Osse en Aspe point de ralliement par le col de Bouesou et Houratate  .Peu de temps après tout le groupe est reconstitué, notre première difficulté du jour est derrière nous et hormis une crevaison de notre ami Jacques F. tout c'est bien passé (tellement bien que Bobby n'a pas vu le panneau indiquant 10,7 % sur un km et qui arrivé en haut nous disait qu'il restait encore cette difficulté à vaincre !!!). Osse , magnifique petit village de cette vallée d'Aspe ou nous passons un petit moment.Nous en profitons pour nous débarrasser de nos imper, manger un brin, prendre quelques photos, admirer un  lavoir très bien conservé, puis direction le village de Lescun, normalement dernière petite grimpette de la journée. Le ciel se dégage petit à petit et nous arrivons enfin après quelques efforts  devant l'église, notre point de repos (pas éternel) ou nous retrouvons Cécile qui en a réservé la cour.Comme d'habitude le pique nique se déroule dans une atmosphère des plus conviviale. "On a bien mangé , on a bien bu on a la peau du ventre bien tendue, merci petit Jésus". Nous repartons, normalement il n'y a maintenant que de la descente et bien encore une fois, non, non et non. Un de nos cyclo - montagnard nous invite à aller encore et toujours plus haut jusqu'au refuge de Labérouat. Dès la sortie du village, des pentes à 15 % en stopperont quelques uns et oui digestion oblige, d'autres poursuivent encore et le plus dur était passé mais pour ne pas faire attendre nos compagnons et pris par de bons sentiments afin qu'ils ne prennent pas froid à nous attendre nous décidons de faire demi tour. Nous redescendons tous ensemble vers Bedous , puis Sarrance que nous passons aussi rapidement que la première fois (clin d’œil) et nous traversons Escot à pied  car c'est la fête traditionnelle du village .Des étalages de fromages du pays, de miel, des produits de la terre, la buvette ou nous détournons la tête bordent la rue puis c'est  la sortie avec des jeux de bûcherons  etc...Enfin Asasp Arros , tout le monde est là et en pleine forme. Un dernier petit demi bienfaiteur au café des sports et retour sur Tarbes. Excellente journée comme d'habitude. Pour l'an prochain le col de Houratate par Osse en Aspe pourrait être envisagé, volontaires faites vous connaître.
Une cyclote, douze cyclos et une accompagnatrice étaient de la sortie.
Adishatz a tots

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Cinquième sortie décentralisée Lou Béarn le 02 Juillet 2011

"Lou Biarn" et ses belles petites villes.
Dix cyclos et cyclotes accompagnés de notre incontournable Cécile sont au départ de cette cinquième décentralisée .
Partis par l'autoroute nous voilà arrivés à ARTIX quarante cinq minutes plus tard, et surprise c'est la fête locale.
Facilement garés au centre du village nous sommes apostrophés par un groupe de jeunes rentrant de leur nuit de "bamboula". Grosse rigolade (photos à l'appui) la journée commence bien.
Nous démarrons à peine lorsque notre trésorière (ou ai je la tête) s'aperçoit qu'elle a oublié ses gants dans la voiture, Bruno toujours galant part les chercher mais en vain.....
Cette fois c'est parti pour de bon ... MOURENX, VILLESEGURE  où nous rentrons dans la bastide, à sa sortie devant une côte à forte pente nous faisons demi-tour pour reprendre la voie normale (heureusement).
NAVARRENX nous voilà, nous traversons la ville, arrêt obligatoire pour visiter son église bordée de son fronton, ses remparts et son pont fleuri. Nous filons bon train vers LAAS pendant que Cécile se perd (cela nous étonne d'elle) en prenant la route d'ORTHEZ, nous la récupérerons grâce au portable (n'en déplaise, belle invention quand même). Arrivés au château de LAAS  il est indiqué que la visite des jardins est possible. Ni une ni deux nous partons donc faire cette petite virée pédestre où un magnifique balcon ombragé dominant les méandres du gave de Pau nous attend. Et oui les CIGOGNES adorent également se promener aux milieu des massifs de fleurs. A la sortie, une table nous tend ses banquettes, c'est le moment de prendre le café qu' Henri et Guy nous ont si gentiment apporté.
SAUVETERRE est vite là, vieux village typiquement béarnais, avec son église romane du XII ème siècle, son pont coupé et son belvédère d’où nous pouvons contempler encore et toujours nos belles Pyrénées.
Cap vers SALIES de Béarn, et ça monte. Nous arrivons devant les thermes, regardons ses jardins et son kiosque, faisons le tour de la place, puis admirons les vieilles maisons au bord du canal (à côté du resto où s'arrête souvent Bruno qui connait les bonnes tables).
Le temps passe, l'horloge tourne, tourne, nous sommes encore loin d'ORTHEZ  lieu du ravitaillement  et il reste encore de nombreux "toboggans" à franchir. Enfin nous y voilà, chacun cherche à atteindre le château MONCADE, le sommet de la ville, par sa propre voie (pas celle du seigneur). Après un bel effort, ouf ! nous avons gagné notre pitance. Et c'est à l'ombre de la célèbre tour, havre de fraîcheur et de calme que nous nous restaurons et où certains se laisserons aller à faire un petit "cluquet".
Nos estomacs apaisés nous repartons,  la chaleur est au rendez vous, et sur les conseils éclairés de Maryse nous nous dirigeons vers le vieux pont d'ORTHEZ, incontournable, au-dessus des eaux vertes et profondes du gave.
La hausse de température et les répétitions de côtes font leur œuvre, et Christine malgré son courage va tenir compagnie à Cécile, car il reste encore quelques bosses.
SAULT de Navailles, ARTHEZ  et enfin ARTIX ..... Après 112 km. , 1350 m de dénivelé, les gorges sont sèchent. Nous nous dirigeons vers "l'estanquet" de la fête d'ARTIX , les jeunes du matin doivent encore dormir, à nous les demis, les panachés pêche......
Une belle virée, de l'avis général, dans le Béarn profond.
PS: "Cluquet",  terme employé fréquemment en Bigorre. Traduction :  petite sieste réparatrice 
Voir album photo
 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Semaine Club à Cambrils du 21 au 28 Mai 2011
Notre semaine club s'est déroulée cette année à Cambrils province de Tarragone en Espagne . La ville est située en bord de mer à une vingtaine de kilomètres au sud de Tarragone.Ville à vocation balnéaire elle est, en cette période creuse, idéale comme point de départ de randonnées cyclotouristes.La chance aidant nous avons bénéficié tout le long de notre séjour d'un temps splendide ce qui a permit  à la plupart d'entre nous de "piquer" une petite tête dans une eau à température idéale.
 suite prochainement
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Quatrième sortie décentralisée dans le Gers le 07 Mai 2011

Notre première sortie décentralisée de l'année 2011 nous amènera dans le département du Gers. Dix sept participants à cette randonnée sont là accompagnés comme d' habitude de Cécile qui assure la logistique. Montesquiou, petit village perché comme d'ailleurs la plupart des villages traversés dans ce département égrène ces petites maisons le long de la route. Une fois prêts nous redescendons pour nous diriger plein ouest vers Bassoues et sa bastide. Après avoir franchi une petite côte avec vent dans le dos nous apercevons et laisserons sur notre gauche ce village pour mettre le cap sur Vic Fezensac. La route est en bon état, sans circulation, donc nous roulons tout tranquillement tout en discutant.Le calme est autour de nous .Il est vrai que ce département a vocation agricole n'est pas des plus peuplés. Nous nous en apercevrons tout le long de notre périple. Hormis les trois ou quatre villages traversés, partout c'est la nature. Les champs labourés d'où émergent les premières pousses de maïs se succèdent les uns après les autres tant au circuit aller que retour. Quelques bois s'intègrent également dans le paysage. On ne peut pas rêver mieux pour décompresser un peu.Vic Fezensac est tout proche et quelques vignes apparaissent, nous sommes dans le pays de l'Armagnac. Nous décidons d'aller faire un petit tour aux arènes lieu mythique pour tous les aficionados de la corrida. Là, nous posons devant une reproduction à échelle réelle d'un taureau de combat et du fameux toréador (en langage courant et qui nous rappelle une certaine chanson) ou toréro (pour les plus puristes et impliqués dans cette discipline) Francisco Ruiz Miguel et non "Manolette" comme certains le pensaient. Discussions entre les pour et contre la corrida, chacun a son opinion sur le sujet, qui a tort, qui a raison . Comme aurait dit La Palisse en son temps ceux qui ont tort n'ont pas forcément raison ( ne cherchez pas c'est mon quart d'heure), chacun reste sur sa position et nous repartons.Quelques coups de pédales de plus, une côte assez raide et Larressingle s'offre à nous. Tout petit bourg classé dans la catégorie un des plus beaux villages de France avec son rempart et sa porte fortifiée encore bien conservés. Après une petite visite à l'intérieur de cette enceinte fort bien entretenue nous repartons vers notre dernière destination de la matinée. A partir de là nous bifurquons plein Est et recevons de plein fouet un vent d'Autan des plus fougueux dont  quelques uns d'entre nous se souviendrons cambrés qu'ils étaient sur leurs machines. Enfin l'Abbaye cistercienne de Flaran  petite fille de l'Escaladieu nous accueille, il était temps, un peu de repos et d'alimentation nous feront le plus grand bien. Nous enfilons rapidement nos coupe-vent car le vent persiste puis nous nous mettons à table. Le repas prit en toute convivialité comme d'habitude  nous nous dirigeons vers Valence sur Baïse située immanquablement en haut d'une nouvelle côte. Bastide perchée créée en 1274 avec en son centre son église à deux clochers qui en a surprit plus d'un, magnifique.Quelle richesse historique et architecturale méconnue dans ce département ! Nous redescendons, longeons la rivière Baïse et son petit port fluvial et roulons maintenant plein sud côtoyant encore et encore des champs ensemencés de maïs . Le vent d'autan nous percute maintenant sur le côté gauche et il faut être vigilant, un écart est vite arrivé. Nous formons par précaution deux groupes espacés d'une centaine de mètres. Lisle de Noé situé à la jonction de la petite et grande Baïse est vite là, dernier arrêt touristique. Nous nous engouffrons dans la cour du château du XVIII ème siècle très bien conservé et entretenu ainsi que son vaste parc.Une partie de cette immense bâtisse sert de maternelle, elle aura donc servi à quelque chose d'utile pour les gens de la commune. Il ne nous reste qu'une huitaine de kilomètres à faire que nous avalons à " hum de caillaou" (assez vite) malgré la côte de Montesquiou, les chevaux ont senti l'avoine et le repos bien mérité. Montesquiou , Ouf , embarquement et retour sur Tarbes. Bonne journée de passée si ce n'est un malheureux incident très bête arrivé à l'un d'entre nous et qui nous a un peu perturbé. Nous disons donc à notre sympathique copain bon rétablissement et à bientôt avec nous. 
album photos disponible
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Omelette Pascale du 25 Avril 2011
            
La darrèra moleta en çò de noste Henric   ( la dernière omelette chez notre ami Henri)

                                   Un final en apothéose.

    Ses enfants, ses parents, ses amis et un puissant renfort de 24 cigognards soit une quarantaine de participants étaient là pour clôturer la série des omelettes Pascales chez notre ami Henri.
     Nos hôtes avaient décorés magnifiquement les tables en jaune et noir, non pour rappeler l'omelette mais pour signifier leur attachement aux couleurs de l'équipe de rugby de Pouyastruc.
     Après un "apéro" chaleureux, de discutions, de retrouvailles et une fois tout le monde installé nous passâmes au moment solennel de la remise des présents. Comme il est de tradition, afin de rendre hommage a notre hôtesse Hélène , des fleurs et un bonsaï lui furent offerts, à sa grande joie, par nos deux doyens Gilbert et André .
     Puis vint le tour d'Henri. Ce fût son ami Robert qui lui remit un assortiment de vins de Bordeaux et c'est avec un grand plaisir que Riton, se délectant d'avance, nous commenta une à une les diverses bouteilles.
     Cette année étant la dernière (pour l’omelette évidemment) un trophée lui fût offert par son amie Yvette afin d’immortaliser toute sa carrière au sein des Cigognes. Ce ne fût pas un Oscar ni même un César mais un Cigognard d'or qu'il reçut, car il s'agit d'un cycliste posé sur un socle au nom d'Henri et des Cigognes. En suivant il nous gratifia d'un petit discours, de remerciements en insistant sur la part prépondérante prise par Hélène dans l'organisation de Cette fête.
     Photos prises et le calme revenu nous passâmes à l'attaque des omelettes confectionnées par Robert, Henri et Hélène .
     Notre "cantagoy" Jeannot entama ensuite la partie musicale et interpréta deux chansons un peu émouvantes. Sur ce, Blaise, en super forme, sortit son accordéon, Cécile sa "boha" et avec l'aide de carnets de chansons ce fût toute la salle qui entra en résonance. Pendant trois heures, en solo, en duo, en trio, tous ensemble, tous ensemble nous avons chanté, les talents confirmés se sont exprimés et quelques révélations se firent jour, nous pensons notamment à Jacques (nébout) pour les jeunes et à Christian pour les anciens.
   Jeannot fit "péter" la dernière, il était 18 h 30'

                        Quina hesta, quina vrespada, quina bohada amics !
                (Quelle fête! Quelle après midi! Quelle ambiance mes amis!)

album photos disponible

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Sortie à JACA Espagne ( du 08 au 10 Avril 2011)

Cette sortie a été pensée, réfléchie et préparée comme une symphonie digne des plus grands interprètes. Notre compositeur et chef d'orchestre Pierre va diriger d'une main de fer et dans un gant de velours cette partition tant attendue de tous.
Quai de l'Adour vendredi matin 8 Avril 2011 l'orchestre est là au complet ou presque. Nos deux solistes Maryse et Marc nous rejoindrons dans l'après midi.Tout notre matériel technique est chargé sur une remorque prévue à cet usage, deux voitures sont prêtes à partir , la troisième se prépare. Le chef  lève ça baguette pour un petit réglage et couac, fausse note du troisième véhicule. Le coffre est deux fois trop petit .Alain et Jeff responsables des denrées alimentaires pour le casse croute du lendemain ont surestimé la contenance dudit coffre.Qu'à cela ne tienne la solution est vite trouvée, le parking Alstom n'est pas loin, Maryse va prendre ce surplus dans sa voiture.La baguette se lève une deuxième fois , le ronronnement des voitures se fait entendre, la baguette s'abaisse et sur un air de paso doble la caravane se met en route. Regroupement au camp de Ger et direct sur l'Espagne par cette belle vallée d'Aspe d'où en passant nous évoquons notre plus que fougueux Pététin . A ne pas confondre avec le Maréchal Pétain qui avait été incarcéré un peu plus haut dans le fort aujourd'hui en restauration. Au passage nous apercevons le chemin de la mâture. Nous traversons le superbe tunnel du Somport, l'Espagne est là qui nous tend les bras, le temps est superbe, pas un nuage, le soleil est au rendez vous, la journée s'annonce excellente. A la sortie du tunnel nous repérons une aire de repos qui est la bienvenue et nous passons à table sans attendre le feu vert de notre chef d'orchestre qui lui même a lâché sa baguette bois  pour une baguette pain plus consistante. Pas de commentaire sur le casse croute, nous repartons et arrivons sans encombre à l'hôtel Mur à Jaca. Voitures garées, descente de nos vélos, remorque bien protégée dans un parking prévu à cet effet, possession de nos chambres, tenues vite enfilées et avant 15 h nous démarrons vers notre première sortie en direction du Monastério San Juan de la Peña. Circuit d'une cinquantaine de kilomètres sans pratiquement pas de voiture, sur des routes magnifiques .Notre premier village traversé est celui de Santa Cruz de los Seros. Petit village tranquille au creux de la montagne, sur le chemin de Santiago de Compostela avec ses cheminées typiquement Aragonaises, bref un lieu ou il fait bon vivre loin du trafic des grandes villes.A partir de là, la grande difficulté de la journée. La montée de ce col avec environ 7% de pente nous fait penser à un petit Aspin. Le ton est donné, se sera sur un air de Slow, la majorité d'entre nous approuve. C'est notre premier grand col de la saison donc nous soufflons un peu. Arrivée au Monastério. Endroit curieux que ce Monastère ancré dans cette roche sédimentaire appelée pouding ou poudingue et constituée de galets liés entre eux par un ciment calcaire ou siliceux.Un peu de répit dans ce lieu puis nous franchissons un kilomètre entre 9 et 10 % de pente pour arriver au point culminant, Le Monastério Alto à 1200 m d'altitude.Ce lieu a été restauré et est composé en partie d'un centre d'hébergement immense ainsi que d'une église.Les abords sont magnifiques et appellent à la promenade.Nous redescendons sur 7 ou 8 km sur un boulevard , pas une voiture, un tapis , nous nous régalons. Croisement de Bernuès, nous nous regroupons et décidons d'aller "faire de l'eau" au village.Pas âme qui vive, village fantôme, direction l'église et là nous entendons un bruit de débroussailleuse provenant d'une petite ruelle. Un jeune homme s'approche, nous le saluons, demandons ou nous pourrions trouver de l'eau ce qu'il nous indique gentiment. Sortie des rochers de l'eau pure et fraîche vient épancher notre soif. Pour plaisanter un tout petit peu quelques uns s'aspergent gentiment, cela fait du bien.Nous repartons et laissons notre homme dans sa solitude. Beaucoup d'entre nous ont remarqué le teint clair de notre interlocuteur ainsi que ses yeux bleus.Comme quoi en Espagne il n'y a pas que de beaux bruns aux yeux noirs. Bref c'est comme chez nous quoi.
Nous attaquons maintenant le col d'Oroel 1080 m , petite formalité, pente environ 4 % , c'est du gâteau, même Jean François nous en a mis une couche avant le sommet (je dis bien avant car une cassure de pente lui a laissé croire que nous avions déjà atteint notre but, ensuite .... ). Arrivés au sommet nous faisons une petite pose repos et photo en bordure de route près d'une ancienne maison abandonnée avec encore une fois sa traditionnelle cheminée Aragonaise .De là nous regardons le sommet du Mont Oroel où doit être notre Cécile qui avait programmé cette ascension pendant que nous ferions notre parcours. Montée qu'elle a réalisé en 1 h 30  alors qu'il est prévu entre 2 et 2 h 30. Quelle pêche.Ensuite descente directe jusqu'à Jaca où doivent nous attendre Maryse et Marc. Hôtel Mur, nous y sommes, repos,douche,petite bière bien fraiche, repas du soir et début de soirée aux abords de l'hôtel . Assis sur un banc ou debout nous écoutons avec plaisir notre intarissable conteur Marc. Il est déchainé et les histoires sortent de sa bouche les unes après les autres. Le fou rire nous prend après chacune d'elles . Pour terminer nous allons nous promener à travers la ville tout le long de rues piétonnes ou les gens du cru vont et viennent avant d'aller manger (et bien oui, nous les étrangers avons mangé à 8 h 30 , eux les autochtones le feront à 10 h). La jeunesse est là par groupes, dans les bars dans une ambiance joyeuse. La plupart d'entre nous, les "couche tôt", pensant à ce qui nous attend le lendemain décide d'aller se coucher. Quant aux autres j'ai ouie dire qu'un dernier gin tonic très frappé leur avait fait le plus grand bien. Marc et moi sommes dans la même chambre , nous nous mettons prestement au lit afin de nous endormir le plus vite possible. C'était sans penser à la jeunesse du coin, nuit infernale, rires, cris jusqu'à 5 h du matin , il ne nous reste plus que 2 h à somnoler profitons en.
Samedi 09 Avril 2011
Réveil à 7 h, petit déjeuner 8 h, départ 8 h 30, beau temps un peu frais, excellente journée en perspective.Tout le monde est là et en forme. Nous attaquons notre périple par la montée du col d' Oroel ( sens inverse d'hier) . Nous y allons à allure très modérée on ne sait jamais car il nous faudra parcourir aujourd'hui 126 km et 1200 m de dénivelé alors doucement les basses . Le chef  nous demande de  jouer cette première partie en bémol. Nous atteignons le sommet (1080 m) sans aucune trace de fatigue. Nous entamons ensuite une très longue descente, passons devant Bernuès et à travers bois sur une route un peu bosselée mais calme nous arrivons rapidement au village d' Anzanigo. Très beau petit village avec son pont de type médiéval sur le Rio Gallego ou nous nous arrêtons pour souffler un peu , boire, etc...Nous reprenons la route, passons le village de Triste (qui n'a pas usurpé son nom) côtoyons el Embalse de la Peña que nous traversons ensuite sur un pont très étroit, longeons à nouveau le Rio Gallego et ses eaux vert émeraude sur lequel s'adonnent des adeptes du "rafting". Murillo de Gallego est vite là. Nous le traversons rapidement et la végétation change un peu. Nous sommes entourés de champs d'oliviers et d'amandiers qui nous accompagneront jusqu'à Riglos . Le panneau indicateur Riglos nous fait tourner sur la gauche et nous montons vers ce petit village adossé à ces falaises abruptes nommées  los Maillos ( maillets en français sans doute de par leur forme ). La route est excellente,  quelques pins nous accompagnent  et des odeurs de résineux et de romarin portés par cette chaleur de la mi journée envahissent nos narines. Nous nous croirions en bordure de méditerranée.Riglos est en vue, magnifique, superbe avec ses falaises impressionnantes couleur ocre rouge. Tout notre petit monde est arrivé, il est midi, nous sommes dans les temps et il est pour nous l'heure d'un petit remontant.Une fois nos estomacs rassasiés, quelques uns d'entre nous s'adonnent à une petite sieste , d'autres vont visiter le village. Nous regardons également de nombreux grimpeurs en cordées s'attaquer à ces falaises impressionnantes.Il est temps pour nous de rouler, nous repartons donc en sens inverse jusqu'à l'Embalse de la Peña. A partir de là nous empruntons la route direction Pamplona. L'allure que nous adoptons est variable et nous fait penser à un air de tango, tantôt  lent lorsque le terrain est pentu tantôt rapide en descente. Nous ne pouvons pas faire autrement car notre ami Marc qui n'a pas cumulé assez de kilomètres commence à donner des signes de fatigue.Il terminera sur un air de tango corse, très piano piano. Successions de petites montées et descentes, montée du col de Santa Barbara et arrêt obligatoire  à une fontaine ou nous apprécions encore une fois une eau limpide et fraiche.Ensuite descente sur Puenta la Reina  ou nous prenons la direction Jaca. Santa Cilia est passé en trombe et nous arrivons enfin à notre destination l'hôtel Mur.Repos pour certains qui n'ont pas assez dormi la nuit précédente, petits rafraichissement de rigueur pour d'autres. La journée s'est admirablement bien déroulée, bravo à tous. La soirée se passe normalement , la nuit également, les noctambules du vendredi soir ont eu pitié de nous.
Dimanche 10 Avril 2011 
Petit déjeuner prit vers 8h 30, bagages prêts, remorque en place et chargée, départ vers la France. Le temps est maussade mais qu'importe nous avons réussi notre sortie vélo. Nous nous arrêtons en cours de route pour admirer la gare de Canfranc, nous gravissons le col du Somport et arrivons enfin à Accous dans la vallée d'Aspe ou nous allons nous restaurer.Je ne m'étendrai pas sur le menu typique du pays. Fin du repas, Pierre rencontre un ami d'enfance qu'il n'avait pas revu depuis des lustres et qui est revenu dans ce magnifique pays.Nous repartons et quelques heures plus tard nous revoilà au quai de l'Adour à Tarbes. Fin de notre épopée, tout le monde est content, expérience à renouveler dans d'autres lieux aussi pittoresques.

Quelques unes des photos prises lors de notre séjour sont disponibles dans l'album photo créé à cet effet.




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Repas de fin d'année décembre 2010 

Notre traditionnel repas de fin d'année a eu lieu cette année aux tables d'Antan place de Verdun à Tarbes. Après l'assemblée générale de la section cyclo de ce vendredi 03 décembre qui avait rassemblé plus de trente personnes, une partie d'entre elles s'est dirigée vers ce restaurant bien connu des Tarbais.Petit à petit la salle se rempli ; bonjour , bonsoir, comment ça va, bises et rebises, le maquillage de ces dames en prend un coup.Notre restaurateur bien connu puisqu'il s'agit d'un des "petits" de Clément nous accueille chaleureusement et attend la fin des papotages et le feu vert de qui.... (on ne sait plus, la section après notre assemblée n'a plus de grand chef ) pour nous faire servir.Trois rangées de tables pour 46 personnes  nous tendent les bras. Chacun prend sa place, soit au hasard soit par affinité, qu'importe nous sommes là pour passer un bon moment ensemble. Je ne vais pas ici vous rappeler les divers menus qui nous avaient été proposés et que chacun de nous avait sous le coude version papier.Bonne initiative prise par les organisateurs car j'ai pu assister a un moment donné à un chassé croisé de plats. Une certaine dame fort gourmande dont je ne citerai pas ici le nom voyant un des plats alléchants arriver se l'accapara. Notre ami, son mari lui tint à peu près ce langage (ce n'est pas la fable du corbeau et du renard) : Comme tu sembles apprécier ce plat, comme tu aimerais le manger et bien non, c'est le mien, notre menu individuel l'atteste. Pas de sentiment et le plat retourna chez notre ami sous le regard envieux de la dame. Après l'apéritif les différents mets aussi savoureux les uns que les autres vont se succéder. Cuisine moderne, originale, bien présentée et servie par un personnel gentil et discret.Les discussions de toute nature prennent le pas, au feeling, histoires revues et corrigées, souvenirs répétés x et x fois, chanson nostalgique étoile des neiges que les moins de vingt ans ne peuvent....... Bref toute la panoplie des repas entre copains. Du déjà vu mais que c'est bon de passer un petit moment ensemble, un petit intermède qui nous éloigne de nos soucis quotidiens.Que diantre, un peu de gaîté pour nous réchauffer un peu.Il est aux environs de minuit, les tables se vident tout tranquillement et nous allons nous éparpiller dans cette nuit douce et calme.A l'année prochaine.
A bientôt
 








 
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Journée famille  octobre 2010

Samedi 16 Octobre à Bernac Debat. Aux alentours de dix heures une vingtaine de marcheurs étaient réunis au pied du bois afin de participer à une petite sortie découverte sous la direction de Cécile. Parmi eux des marcheurs chevronnés comme André et son épouse et d'autres, marcheurs plus occasionnels profitant de l'occasion pour se dégourdir les jambes.Cette marche tranquille va les mener à travers bois jusqu'au Turon de Bernac Dessus (Oppidum protohistorique,en fait trace proéminente d'un ancien camp retranché datant d'avant l'époque romaine).Tous auront pris un certain plaisir dans cette petite randonnée surtout que quelques châtaignes ramassées en cours de route pourront agrémenter une petite soirée au coin du feu. Pendant que certains marchaient dans les bois ou en ville (c'est encore cela la diversité), d'autres , les travailleurs de l'ombre s'attaquaient à des tâches plus obscures mais dont le résultat final fut des plus réussi. Les  présentations d'usages s'imposent pour leur faire honneur.Clément, Robert et Bruno à la cuisson.Christian derrière le bar à la découpe,préparation des plats, caviste etc..j'en passe car notre ami a plusieurs cordes à son arc.Henry notre pâtissier en chef qui nous a confectionné deux superbes rochers des Pyrénées et a aidé au service avec Jeanine, Bruno etc.., Jean François préparateur en apéritifs en tous genres et d'autres que je ne nommeraient pas et qu'ils veuillent bien m'excuser car tant de personnes ont participé que je ne m'y retrouve plus (en patois lou bieilhet ou un coup de vieux ).Dès midi, tous nos soixante et un convives étant là nous nous dirigeons vers l'extérieur ou deux tables prestement montées et nous présentant une diversité d'apéritifs attendaient d'être allégées . Ce que nous fîmes sans être forcés. Connaissances, bavardages , Clément surveille de temps en temps ses cuisses de canard quand soudain..... un air de clairon, non, de pipo , bien connu de tous ceux qui ont gouté au rata de nos casernes.Ici pas de précipitation, il y en aura pour tout le monde.Nous nous dirigeons vers nos places au hasard des tables. Le repas commence et les discussions aussi, il en est ainsi dans toutes réunions conviviales.Notre ami Pierre prend le micro et nous voyons à sa mine réjouie que tout se passe comme il le souhaitait.Il faut dire que notre bouillant personnage s'est investi un maximum au point de ne pas en dormir la nuit, il se rattrapera plus tard.Présentation donc de Jeannot , chanteur bien connu dans la région et qui plus est, beau frère de Roger.Il est donc comme chez lui et nous a gratifié toute l'après midi de chansons du terroir.Un homme charmant, cordial, un fin chanteur et un souffle à vous couper le ....Il fut accompagné parfois de Louisou, Riri, Pierre, Cécile et sa bouha ainsi que de Blaise à l'accordéon.Blaise nous a fait comme à son habitude un petit coup de Johnny pour faire chauffer la salle.Une tentative de chant esquissée par Jeff n'a pas aboutie. C'est pas son truc.Le repas se passe ainsi tout tranquillement ou presque. Certains se lâchent un petit peu au grand bonheur de tous, ils se reconnaitront . Ah, ces jeunes . J'oubliais de parler du menu. Aux dires de tous, excellent. Cuisses cuites à point, haricots Tarbais bien cuisinés , gâteau à la broche parfait, café avec pousse café , bien. Fin du repas, certains doivent rentrer il est déjà cinq heures passé.Nous rangeons rapidement les tables , les chaises et commençons à nettoyer pensant que c'étaient fini.Et bien non. Pendant qu'une majorité s'en allait, une vingtaine de fidèles au poste restait pour quelques parties de pétanque suivi d'une petite collation. Ou mettent-ils tout cela, pas étonnant que certains souffrent dans les côtes.Nouveau nettoyage et rangement de tout le matériel. La soirée s'achève ainsi tout naturellement. Il est dix heures.Nous remercions encore une fois tous les participants à cette journée famille avec une mention particulière à Néné qui nous a réservé la salle ainsi qu'à tous les organisateurs de la commission festivité.Nous n'allons pas nous jeter des fleurs mais nous pouvons dire que l'ambiance était parfaite et que cette journée s'est déroulée en toute simplicité et camaraderie.Là est l'essentiel.
Adishatz et à l'année prochaine                                                      

  Un trio d'enfer miam miam                                             Autre trio dynamique à la préparation


















                                                             Au fil des tables












                                                          Nos artistes à l'œuvre













                                                                                                                       Sous le charme












 Notre Cécile spécialiste de la bouha ( surveillée de près)          On se découvre des talents




                                                        








 Allez jeunesse on se lâche                                                        Qu'est ce qu'il y a t'es pas content !












Tant qu'on y est , un petit pas de danse               Notre ami Jeannot virtuose du chant














                                                                                       On se cherche, qui va tirer, qui va pointer

                 
 






                              Une note d'optimisme : la relève est prête, bonne graine de cycliste
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Escapade au Pays Basque

Les spécialistes de la météo nous annonçaient un vendredi 24 septembre pluvieux .Par chance quelques rayons de soleil étaient là et nous avons pu démarrer de Tarbes dans de bonnes conditions. La ponctualité étant comme de coutume au rendez vous, neuf personnes réparties dans trois voitures prennent donc la route direction Hendaye.Un léger contre temps dû à l'oubli d'un bidon d'un de nos compagnons nous fait attendre quelques minutes à l'entrée de l'autoroute.Le voyage se passe normalement et à 17 h nous sommes au camp Auguste Delaune ou nous prenons possession de nos deux chalets.Nos affaires personnelles et nos vélos sont déchargés prestement . Pendant que nous rangeons nos affaires Guy et Christian en profitent pour aller faire quelques courses à la frontière afin d'assurer notre repas du soir.Nous nous regrouperons tous les soirs dans un des deux chalets afin de partager de bons repas concoctés par nos fidèles accompagnateurs que sont Cécile, Myriam et Christian.Il est inutile de dire que ce ne sont pas des repas spécifiques à des cyclistes de haut niveau.Les nôtres se composent tout d'abord d'apéritifs en tout genre, saucisson maison, rôtis de porc ou de bœuf, plats de pâtes excellemment préparés par Myriam agrémentés de sauce tomate espagnole et d'une bonne dose de fromage râpé pour Guy, dessert, café . Après cela dodo, deux couples d'un côté et cinq célibataires de l'autre.6 h 30 dans le chalet des célibataires, ça commence à bouger puis l'un après l'autre douche etc..Tout est réglé comme une montre,on voit que le service militaire a servi à quelque chose.Il est à noter qu'avant de se coucher Christian avait déjà préparé le café, mis nos bols en place etc. et il en sera de même le lendemain.Une vrai Nounou nouste Christian.Tout le monde est prêt, le temps est  variable, c'est correct pour rouler.Nous nous dirigeons vers St Jean de Luz via la corniche . L'air de la mer envahi nos narines , que c'est bon. Les falaises sont là à notre gauche. Soudain une multitude de mouettes surgi  au devant de nous.Elles comprennent qu'elles ne sont pas des nôtres et reviennent vers leur élément, l'océan.Une photo est prise pour immortaliser notre passage et nous reprenons la route. Nous passons Socoa, St Jean de Luz , prenons quelques petites gouttes, passons Ascain, gravissons le col de St Ignace (169 m).... ne riez pas, traversons la Rhune ou en passant devant la gare du petit train réveillons quelques touristes qui attendaient dans le calme.Sare est là, nous nous arrêtons un instant et poursuivons jusqu'à Ainhoa petit village pittoresque (classé un des plus beaux village de France) avec ces maisons typiquement basques et très bien conservées. la frontière Dantcharia est traversée rapidement puis nous prenons la direction de l'Espagne. La première difficulté du jour si l'on peut dire.5 ou 6 km de bonne route à environ 4% à 5% de pente et nous voilà à Zugarramurdi célèbre pour ses grottes réputées être des repères de sorcières (brujas en Espagnol).Nous   redescendons direction Sare et nous reprenons la direction de l'Espagne par le col de Lizarrieta (441 m). 7 km de montée à travers bois. En montant nous avons l'occasion de voir sur les bas côtés quelques trémoulets et giroles. Dommage que nous faisions du vélo, les cèpes ne doivent pas être loin.En haut, un petit crachin commence à tomber. Nous nous désaltérons un petit peu et redescendons dans la vallée . La descente se fait en douceur sur une route impeccable. Il est à noter que côté Espagnol les routes sont superbes.Etxalar est là. Il est temps de penser à manger.Nous en profitons pour visiter une église magnifique . A l'entrée de celle ci un petit cimetière avec d'anciennes sépultures de style basque attire notre attention.Quelques photos et nous repartons précédés par nos accompagnateurs. Nous arrivons à Vera de Bidassoa ( Bera en Basque) . Il est 14 h et temps de passer à table. Ce que nous faisons dans le restaurant le plus proche en bordure de notre parcours.Les menus sont copieux et de l'avis de tous excellents. Pour mémoire et activer à blanc encore une fois nos papilles rappelons quelques mets: omelettes de cèpes, Seiches à la plancha, côtelettes d'agneaux et de bœufs, desserts, le tout agrémenté de vino tinto et clarete ( Pub: restaurant Euskalduna à Bera).Il est temps de rentrer, il est déjà 16 h. Le pied du col se situe à la sortie de la ville . Nous entreprenons donc sa montée à froid ( si l'on peu dire) . Une montée tranquille de 6 km, sans voiture et pas difficile du tout de ce côté. Col D'Ibardin (330 m). Nous entamons la descente sur une route sinueuse et encombrée de touristes allant ou revenant de faire leurs courses dans les ventas d'Ibardin. Le reste du parcours se fera sans encombre. Nous arrivons en haut du camp, 96 km. Un plaisantin nous dit que ce n'est pas un chiffre rond et qu'il nous faut aller jusqu'à 100. Nous descendons faire une petite visite au port d'Hendaye et remontons tout le long de la plage.102 km. Stop, on arrête là. La soirée se passe tout doux, nous n'avons pas trop faim mais nous nous laissons quand même tenter par quelques restes . Il est tard la nuit sera courte. Dimanche 26, tout le monde est sur pied, le soleil se lève, la mer est bleue, excellent.Direction Hondarribia, charmante ville que nous traversons sans encombre. Nous prenons la piste cyclable en bord de mer jusqu'à la jetée puis nous remontons par une petite route assez pentue jusqu'au phare de Higuer.Demi tour et direction notre objectif  le col de Jaizkibel (475 m) . Ce col se monte de ce côté en trois temps. Quelques kilomètres environ à 5 % de pente jusqu'à le chapelle notre dame de Guadalupe, ensuite une portion plate et l'on fini par deux ou trois  kilomètres à 7 ou 8 %. Vue magnifique sur la baie d'Hendaye et dans la descente vue imprenable au loin vers San Sebastian. Depuis Lezo nous rentrons directement au camp ou nous devons manger rapidement car un de nos Cigognard est également un fervent supporter de l'équipe de rugby de Bagnères qui joue cette après midi à Hendaye.Dans la matinée nous avons donc parcouru 54 km dans des conditions idéales pour rouler, pas ou peu de circulation automobile et beau  temps. Après le repas de midi aussi copieux que d'habitude nous nous quittons là , contents d'avoir passé un bon Week end très agréable entre copains. Les cyclos sont: Gilbert, Guy, Clément, Pierre, Gégé et Jacques. Les accompagnateurs: Cécile, Myriam et Christian.
 Au revoir , Ikus arte

Christian, Cécile, Myriam                               Gilbert, Jacques, Gégé, Pierre,Guy, Clément










 Arrêt à Etxalar                                                                                     Col de Lizarrieta                                         















                                                     Restaurant à Bera (Vera de Bidassoa)










        Phare de Higuer                                                                               Col de Jaizkibel













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Barrage de Cap de Long (2160 m) 
Lacs d'Aubert et d'Aumar (2192 m)

Il fait encore nuit, l'air est un peu frais mais le grand beau temps est annoncé pour cette journée du 04 septembre.Nous avons décidé d'un commun accord d'aller nous oxygéner dans la réserve du Néouvielle , site très prisé des touristes et des amoureux de la montagne. Notre point de départ initial était Sarrancolin mais la fête du village ne nous permet pas de nous garer sur la place.Nous irons donc un peu plus loin jusqu'à Arreau. Ce n'est que bénéfique pour nous, quelques kilomètres de moins à parcourir.Une dame cigogne s'élance bien entourée par onze cigognes du sexe opposé. Nous avons revêtu des tenues chaudes car la météo de la veille prévoyait 8°C et le long de la Neste il pourrait faire frisquet.Surprise le fraicheur était très supportable et le thermomètre affichait environ 12 °C. Excellent. Nous avançons par une petite route parallèle à la départementale classique.Dès le départ un petit groupe d'indiscipliné est parti devant et a bifurqué sur la route classique. Guy et Henri rouspètent, c'est toujours la même chose, il va falloir sévir.Nous nous rencontrons un peu plus loin et faisons route maintenant vers St Lary. Village traversé par certains avec indifférence,d'autres plus curieux admirent les maisons à colombage, ceux là auront un bon point que leur remettra Pierre.Nous sommes dans les gorges, voyons sur notre droite Cadeilhan Trachère berceau de Blaise, pas étonnant qu'il soit si rude. Nous arrivons tout tranquillement au croisement après Fabian. Là nous ôtons nos vêtements chauds car notre  chaleur naturelle suffira. Le barrage est annoncé à 14 km. Aux dires de Henri et au vu de l'altigraphe ce n'est pas gagné. Nous sommes dans le vif du sujet et quelques groupes se forment.Dans la montée que nous pensions calme au début une quantité de voitures nous dépassent. Les vacanciers de septembre sont là ainsi que des randonneurs, nous en aurons la confirmation plus loin au point de départ vers le lac de l'Oule, incroyable le monde qu'il y a.Cinq d'entre nous arrivent au croisement du lac d'Orédon et du barrage de Cap de Long. Pour faire découvrir cet immense ouvrage à Joël nous décidons d'y aller. Trois kilomètres plus loin nous atteignons notre but ( altitude 2160 m). D'ici le paysage est magnifique avec vue plongeante sur le lac d'Orédon.Nous nous reposons un instant, croquons une barre énergétique, un cycliste nous prend en photo et nous nous apprêtons à repartir quand soudain apparaît Gilbert dans un virage en contrebas. Nous l'attendons et repartons . Deux lacets plus bas un autre homme en rouge arrive. C'est Néné, quelle santé pour quelqu'un qui préfère rouler grande plaque.Peu de temps après il est là et nous nous dirigeons maintenant vers le lac d'Aumar et Aubert. Route très calme, puisque interdite à la circulation mais quelle pente sur également environ 3 km.Une ligne droite nous a un peu rappelé à la dure réalité. Henri se détache tout naturellement en excellent grimpeur qu'il est.Une petite brise vient nous caresser le visage c'est bon signe, l'arrivée est proche, le lac est là, splendide.Nous descendons vers le lac d'Aubert ou le reste de nos compagnons est là et nous attend. Certains ont déjà commencé à manger.Le paysage est très beau, nous contemplons les pics alentour ( Le Néouvielle, Ramoun, Madamette etc..). Après la photo de groupe traditionnelle nous remontons vers le lac d'Aumar ou nous allons nous restaurer. L'herbe est molle et n'attend que nos fesses meurtries.Nous mangeons là en toute tranquillité. Fin du repas, calme absolu,certains se sont allongés et somnolent un instant, c'est toujours ça de pris, d'autres plus loin racontent des blagues. L'un d'entre nous débute une histoire et se perd en cours de route, mauvais jour. Nous saurons la fin de l'histoire en prenant le café 14 km plus bas. C'est ainsi, il se reconnaitra.Il est à noter que la descente est très contraignante et secoue beaucoup,il faut rester très vigilant. Arreau nous voilà , fin de la sortie, retour sur Tarbes. Excellente journée comme d'habitude, le pli est pris , le rapport sera fait au président qui j'en suis sûr était avec nous à distance.
A bientôt



































































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Cols de Marie Blanque (1035m), d'Ichère (674 m) et de Lie (600 m)
Samedi 28 Août, surprise au départ du quai de l'Adour. Sept cigognes étaient attendues, treize se présentent, cela sent le retour de vacances .Pierre frétille comme un poisson dans l'eau et dirige la manœuvre.Les équipages sont formés et les vélos prestement chargés.Nous voilà partis à la queue leu leu direction Louvie Juzon.Tout se passe fort bien et nous dépassons vers Asson Guy avec son copilote Raymond. Il s'est avéré que Raymond ne supporte pas la voiture et qu'un arrêt immédiat et de toute urgence dû être effectué. Rassurez vous pas de dégât pour l'intérieur du véhicule. Louvie Juzon, Cécile prend tous nos sacs et en voiture se dirige vers le plateau du Bénou pour effectuer une petite randonnée pédestre. Nous, les cyclos, nous démarrons ensuite par un temps couvert, avec une température agréable.Quelques lieues plus loin, comme d'habitude, arrêt devant une boulangerie-pâtisserie pour faire le plein de vitamines. Bielle est en vue et la difficulté majeure de la journée nous attend. Peu de monde sur la route c'est impeccable. Rien à dire de spécial sur cette ascension si ce n'est que les forts pourcentages se situent pendant 3 ou 4 km après Bielle ( de l'ordre de 9 °/o) et pendant 1 km après le plateau du Bénou. Ensuite c'est tout tranquille jusqu'en haut. En passant sur ce plateau nous apercevons Cécile qui se dirige vers un sommet proche.Le col est atteint et manifestement tout le monde est en parfait état , aucun signe de fatigue ( voir photo).Nous redescendons direction Escot et pour notre bonheur une petite fête a lieu dans ce village. Nous nous arrêtons quelques instants, causons avec des villageois et Guy ne peut s'empêcher d'acheter un bout de fromage de brebis au cas ou.Direction Sarrance que Pierre nous a tant vanté et qu'il veut nous faire découvrir. Entrée du village, nous tournons dans la première rue à droite, quelques secondes plus tard ,sortie du village. Fin de la visite. Nous n'avons rien vu !!!! Sacré Pierre, petit chambrage et nous continuons. Direction col d'Ichère, tout ce petit  monde paraît serein. 634 m, du gâteau quoi.Oui un gâteau mais la cerise a du mal a passer. 2 à 3 km entre 9 et 10 °/o . Arrivée de tout le groupe en ordre dispersé. On sent que les organismes ont souffert. Notre photographe attitré Clément fait crépiter son appareil et  il en sera ainsi toute la journée.Descente jusqu'à  Lourdios Ichère, pays du talentueux et pittoresque député et orateur Jean Lassalle . Arrêt sur le pont enjambant un torrent dont je n'ai pas retenu le nom et d'où nous pouvons apercevoir quelques truites sauvages en quête de nourriture dans une eau limpide.A la sortie de ce petit village un panneau indique route des cols, pour nous le dernier de la journée. En fait le petit frère de celui que je viens de décrire auparavant mais moins long.Toujours le même rituel photo, elles aiment ça les cigognes . Elles enlèvent leur casque, se peignent , sourient et en avant, photo par ci , photo par là. Descente toute tranquille sur Arette qui est là au bas de la côte. Pierre nous fait visiter l'église et nous pouvons lire sur des affiches le drame qui a eu lieu en Août 1967 dans ce petit village du Béarn, ce tremblement de terre ou l'épicentre se trouvait là et qui avait détruit une partie des habitations et le clocher de l'église.Nous nous dirigeons ensuite chez le frère et belle sœur de Cécile qui nous accueillent très chaleureusement  chez eux. Malgré le nombre ils nous offrent l'apéritif  et nous discutons sur leur terrasse à l'ombre d'un parasol. Nous les remercions de cette gentillesse.Nous repartons à la suite de Pierre . Pour le déroulement du repas aucun commentaire, voir les articles précédents.Fin du repas, retour par le bois du Bagger, ça monte constamment, forcément on se dirige des basses vers les hautes pyrénées .Une course cycliste arrive en sens inverse, multitudes de motards bénévoles , gendarmes et de voitures, la route n'est pas bloquée. Nous nous arrêtons sur le bas côté, les coureurs prennent toute la route et ce qui devait arriver arriva. Pierre se fait "encadrer " sur sa droite par un retardataire qui négocie mal un virage, mais aucun suiveur ne s'inquiète pour notre ami. Pas grand mal heureusement. Sécurité ou es tu ??? . Arudy est dépassé, Louvie Juzon est là, fin du périple. Petit rafraichissement au café du coin et retour sur Tarbes. Guy est inquiet, Raymond as tu une poche en plastique ? 
A bientôt



































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Hautacam, col de Tramassel (1635 m)
En ce matin du 25 Août, trois irréductibles ont abandonné leurs coéquipiers de la randonnée classique du mercredi pour gravir encore une fois un autre col. Notre président et capitaine de route habituel après en avoir été averti nous a donné le feu vert mais on lisait dans son regard une petite pointe de désapprobation. Non mais.......Par une très belle matinée nous avons monté ce col assez rude pour la énième fois . Pas de surprise donc. Comme d'habitude après être resté par politesse avec Joël et Jacques quelque temps, notre Bahamontès Loulou s'en est allé tout tranquille jusqu'au sommet avec une telle aisance que cela vous coupe les jambes. Surtout ne pas essayer de suivre.Nous passons quelques passages délicats et après environ une heure trente d'efforts nous atteignons la station de Hautacam puis le col de Tramassel. Quel plaisir d'être là, le bon air, un paysage sublime sur la vallée d'Argelès nous font un instant penser que nous sommes seuls au monde.Nous avons une pensée pour nos compagnons qui doivent souffrir dans les coteaux.Nous redescendons et à 12 h 30 tout le monde est à la maison. Sortie réussie, Joël est content c'est lui qui nous avait invité à effectuer cette sortie. Explications avec Pierre, aie , aie, aie !!!!
A bientôt
    Au col de Tramassel                                                                                      Joël et Loulou








      














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Luz Ardiden par Viscos ( 1715 m)
Comme d'habitude tous les volontaires sont au quai de l'Adour et à 7 h 00  nous nous dirigeons en voiture vers Lourdes. Un seul est parti en vélo ( bien équipé) alors qu'il faisait encore nuit . Vous le reconnaitrez. Le  top départ est donné à 8 h 00 précise depuis le parking de chez Netto.Sept cigognards et une petite cigogne s'élancent par la coulée verte jusqu'à Pierrefitte Nestalas ou nous avalons un  petit en cas sur la place centrale .Notre marche en avant se déroule admirablement bien tout le long des gorges de Luz jusqu'à l'embranchement de la route de Viscos.Regroupement, un petit plat nous permet de mettre notre plus petit plateau car aux dires de certains "ça grimpe pas mal" et en avant la musique. De petits groupes se forment qui au fil de la montée se délient car nous arriverons un par un au sommet.La montée est rude au départ jusqu'à Viscos. Ensuite la pente est moins rude jusqu'à l'embranchement de la route de Luz St Sauveur. Tout le charme de la montée est la traversée en sous bois ce qui nous permet de respirer un peu et l'absence de voiture et de vélo car cette montée est moins fréquentée que la classique par Luz. Depuis l'embranchement il reste encore quelques 4 km à gravir et non des moindres mais la route est bonne, le soleil est là et quelques vacanciers nous regardent passer donc faisons bonne figure au passage, nous grimacerons après.Maryse arrive au courage, quelle pêche. Guy nous arrive enfin freiné lors de sa montée par une petite indisposition toute naturelle. Tout le monde est là, la photo de circonstance prise, regard sur les alentours, quelques vaches et moutons nous croisent et nous redescendons tranquillement. Le soleil commence à taper et qu'elle est longue cette coulée verte . Lourdes est là , 92 km d'effectués dont 15 km de montée.Tout le monde est ravi, tout va bien.
A bientôt

 




 












  








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 Col d'Azet par Génos (1580 m) et Pla d'Adet (1680 m )
 Notre départ s'effectue depuis Sarrancolin sur la place centrale.Quelques marchants ambulants se mettent en place. Il est 8 h pile lorsque nous nous mettons en route.Guy s'arrête à la boulangerie pour prendre un petit croissant. Je l'attends, nous sommes les avant derniers. Derrière nous, Michèle, Jean Claude et Robert vont faire le circuit du col d'Azet par St Lary.Guy ressort avec son croissant, enfourche son vélo et démarre.Nous partons. Pas du tout , celui ci avait oublié son casque. Demi tour jusqu'à la voiture et nous voilà enfin partis. Route impeccable jusqu'à Génos avec toutefois pas mal de circulation en ce samedi 07 Août , jour de chassé croisé des vacanciers.A Partir de là environ 7 km de montée rude que nous avalons tranquillement s'en forcer car une autre difficulté nous attends. Le paysage est magnifique et nous apercevons lors de virages bien placés le col de Peyresourde et le lac de Loudenvielle. Notre arrivée échelonnée au sommet est saluée par le tintement de quelques cloches portées par un troupeau de vaches et leurs petits en estives.Descente prudente jusqu'à' à l'entrée de St Lary, nous traversons Vielle Aure et attaquons la deuxième et non des moindres difficulté de la journée. Il n'est pas tout à fait 11 h et le soleil commence à nous envoyer quelques dards en guise d'avertissement.Tout ce qu'on peut dire de cette montée au Pla d'Adet c'est que outre les paysages qui sont admirables mais que nous n'apprécions pas du fait que nous sommes concentrés sur la route et sur la gestion de notre effort c'est qu'elle est Terrrrrrible et interminable. Sa réputation de montée éprouvante n'est pas usurpée. La pente est régulière avec un fort pourcentage. Un petit replat après Soulan nous fait penser que l'on est au bout du tunnel , que nenni, tous les efforts que nous avons fournis jusque là se font ressentir et c'est avec un grand ouf de soulagement que nous atteignons notre but. Il est environ midi. Pied à terre, quelques minutes de détente et c'est une grande satisfaction qu'y, enfin,  nous envahi. Très belle vue sur toute la vallée et quelques uns d'entre nous pensent apercevoir en contre bas, du côté de Cadéan notre ami Blaise ramassant enfin ses  belles patates.Mirage, délire dû à la fatigue ??? Nous cassons une petite croûte et redescendons. Une petite halte sur la vieille route de Vielle Aure, un dernier regard sur ces lacets impressionnants qui nous font penser à un serpent gigantesque ayant sa queue à Vignec et sa tête monstrueuse au Pla d'Adet et nous voilà de retour à Sarrancolin . Nous avons juste le temps de descendre de nos vélos que déjà le peloton de la course cycliste du tour des Pyrénées surgit.Quelques secondes plus tard, plus rien. No coment , rien à voir avec nos petites pointes de vitesse.Retour sur Tarbes sans encombre. Qu'elle fut dure cette journée, un col nous aurait sans doute suffit. 
A bientôt pour un autre petite montée.
       Lac de Loudenvielle                                                                            Louisou et Jacques












           Jean Louis                                                                                                     Pierre













 Guy, Jeff, Jean Paul, Roger                                                                                  Néné











         Col d'Azet                                                                                                   Pla d'Adet











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Cirque de Troumouse (2100 m)
Il est 7 h Tarbes s'éveille, il est 7 h il est temps de prendre la route direction Soulom.Nos charmantes compagnes de randonnées sont prêtes, bien fardées, reluisantes, huilées à souhait et elles vont, qu'elles nous pardonnent, nous supporter sur leur petite selle tout le long de la journée. Le top départ est donné avec consigne de bien rester sur sa droite et en file indienne car la circulation direction la montagne commence à être dense en ce samedi 31 Juillet. Les gorges de Luz sont franchies à allure raisonnable par nos treize Cigognards. Le beau temps est au rendez vous, la journée s'annonce belle.Luz St Sauveur est là ainsi que son célèbre pont Napoléon. Arrêt obligatoire, photos souvenirs et nous repartons d'un pas, que dis je plutôt d'un coup de pédale tout en douceur. Gèdre est en vue. Au passage dans ce petit village un petit coup d'œil vers le haut nous fait découvrir un bref instant la brèche de Roland. De l'avis de Pierre il existe une autre version un tantinet différente de celle que la légende populaire nous transmet. Nous retiendrons celle mondialement connue de notre héros Roland qui trancha la roche en deux avec sa célèbre épée Durandal. Non mais, quand on a un champion on le garde.Quelques petits lacets plus haut nous laissons filer la route de Gavarnie sur notre droite et tournons à gauche. A partir de là la route parait se redresser un peu. Est ce une impression, pas du tout, le cliquetis des chaines sur les pignons arrières nous ramène à la dure réalité, ça y est nous sommes dans le vif du sujet. De petits groupes se forment, d'autres grimpent en solitaire, de toute façon chacun est seul avec sa machine.Quelques kilomètres plus loin quatre d'entre nous décident d'aller faire un petit tour jusqu'au barrage des Gloriettes.Il n'est que 11 h, nous avons le temps et le cirque n'est pas trop loin.Nous faisons donc cette petite ascension d'environ 2 km sur une route praticable jusqu'à environ 300 m du haut ou nous mettons pied à terre pour cause de travaux. Vue sur le barrage et sur deux magnifiques maisons,une petite barre, un petit peu d'eau  puis retour. Nous sommes les derniers, le reste de la troupe est déjà passé. Crevaison de Joël, réparation et nous voilà repartis. Nous traversons Héas, dernier et joli petit village, Raymond voit le restaurant de la Munia et s'apprête à mettre le pied à terre. Nous lui indiquons que c'est à l'auberge du Maillet que nous nous restaurerons après être allé au cirque.Il en a pris un petit coup au moral. Le péage est là, petit bonjour à la guichetière, le panneau indique Auberge du Maillet 5 km, Cirque de Troumouse 8 km.Un vrai col à monter, tout en lacet, la route est excellente. Nous ne parlons pas, regardons vers le haut, qu'ils sont long ces kilomètres. L'auberge est en vue, petit replat, nous nous regroupons et après une toute petite descente qui nous permet d'abaisser notre rythme cardiaque, voilà que ça recommence et alors là les amis celui qui a mesuré les kilomètres et le pourcentage a du se tromper, interminable .Nos copains sont en haut on doit y arriver. Nous y sommes, Ouf et re Ouf. En ce qui me concerne, c'est la première fois que j'ai mis tout à gauche comme l'on dit dans le jargon cycliste. Mauvais jour ??? L'Aubisque, le Tourmalet, le Mt Ventoux en comparaison c'était du gâteau.Cette montée n'est pas classée mais elle mérite d'être réalisée. La satisfaction d'être arrivé là dans ce petit paradis, loin des foules, dans un calme absolu fait oublier toute notre fatigue.Le paysage est magnifique avec le pic de la Munia , ces barres rocheuses, ces verts pâturages. Nous savourons, restons un petit moment à contempler afin de graver ce site dans notre mémoire.Il est déjà midi, nous redescendons vers l'auberge par cette route impressionnante serpentant à flanc de montagne.La table est mise, le repas est pris dans une ambiance dont je ne m'attarderais pas à mentionner les détails ici tant elle ressemble à toutes les autres déjà vécues.Tout ce que l'on peut dire c'est que des blagues en tout genre et des chants traditionnels ont fusé sous l'impulsion modérée de quelques petits carafons de rosé bien frais.Retour bien passé, stop, aucun incident majeur, stop, journée excellente , stop, expérience à renouveler, stop et fin.
A bientôt
                                                                      Pont Napoléon


    Le groupe au complet                                                                         Roger,Jacques et le vide

 







 
           La route                                                                                       Le cirque de Troumouse











Le président a un coup de chaleur                                                      Roger, Pierre et Jacques











      Ils se reconnaitront                                                                             Jean Paul et Gilbert
















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Col d'Aubisque (1709 m) par Eaux Bonnes
Petite fraicheur matinale dès le départ d'Asson le samedi 24 Juillet ce qui nous a incité à faire tourner un peu les jambes. Fraicheur extérieure vite compensée par une chaleur interne naturelle due à une petite série de côtes avant Louvie Juzon.  Les 17 cyclos présents, d'un rythme très cool et tout en bavardant le long de la petite route longeant le gave d'Ossau se délectent du paysage et des petits villages traversés. Laruns nous attend, c'est le marché. Petite halte pour se restaurer un tout petit peu avant la difficulté du jour.Comme toujours nous repartons chacun avec notre propre allure . La route est excellente, le tour est passé par là et nos impôts aussi. Ne nous plaignons pas, c'est du billard. Eaux Bonnes est traversé d'un trait. Gourette est en vue. Quelques uns s'arrêtent pour prendre des clichés de cette station réputée.Je fais la route avec Bruno et Clément , tout doux. Nous arrivons au col tranquillement. En ce qui me concerne cette ascension est un régal . Tout dépend à quelle allure on la monte, il n'y a pas de miracle.16 cyclos sont en haut et comme d'habitude longue attente et mêmes questions, qu'y a t'il, que se passe t'il, qui manque t'il  ??? J'y suis, tu y es, il y est etc... manque Gérard . Je l' écris en gras pour que ceux qui ont la mémoire ou les yeux qui flanchent ne l'oublient pas. Après une longue attente je me décide à redescendre pour m'informer de ce qui arrive. Je pose pied à l'hôtellerie 2 km plus bas et j'attends. Des cyclistes passent. Soudain, au loin, émergeant d'un virage, une forme va de gauche à droite de la route. Je ne vois pas bien la couleur du maillot. Il se rapproche, c'est bien lui notre Gérard, le casque attaché au cintre du vélo, la chemise grande ouverte faisant apparaitre ses abdominaux bibendum et un sac à dos tout en rondeur.  Il s'approche, s'arrête en catastrophe, je lui tiens le vélo car les crampes avaient trouvé dans notre ami un bon client. Il se repose, je lui propose de lui porter son sac et là je m'aperçois que la charge était digne d'un sherpa. Notre sympathique compagnon avait confondu montée du col d'Aubisque et sortie décentralisée ce qui l'avait conduit à forcer sur les sandwichs en tout genre, veste polaire, vêtements de rechange et..........une bonne bouteille de Bordeaux. Pas étonnant donc qu'il n'avançait pas. De son propre aveu il n'avait pas repris le vélo depuis 3 semaines et avait participé à des soirées grillades. Costaud le Môssieu.Tout le monde est en haut et avec le sourire c'est le principal. Je n'ai entendu personne parler de moyenne horaire  ni de temps de montée c'est encore mieux.Retour à Asson tranquillement sauf à la fin du parcours ou Roger comme à son habitude nous a fait le panneau. 
Bonnes vacances à tous et à bientôt
Départ du quai                                                      départ du quai ( prise par Joël déstabilisé )

 
 








station de Gourette                                                                   Après Gourette











                                                                Col d'Aubisque

































                                             Arrivée de Jeff , Guy et Maryse au Soulor
 








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Tourmalet ( 2115 m) par Barèges.
Le samedi 17 Juillet 2010 nous avons entrepris une de nos sorties corsées de l'année à savoir la montée du Tourmalet par Barèges soit environ 130 km et en prime la montée du géant. J'allais dire que cela s'était passé de façon admirable et bien non et pour une fois notre farceur patenté si souvent décrié n'était pas en cause.Il peut respirer tranquille et je vois d'ici notre sympathique lascar rire sous cape. Je ne vais donc pas épargner qui vous savez qui fait parti du petit groupe de moqueurs dont je ne suis pas. Les prénoms utilisés sont le fruit de mon imagination pour éviter les scènes de ménages ou les moqueries à table. En ce matin  brumeux et bruineux à souhait deux de nos amis s'avancent donc un quart d'heure avant nous car l'un d'entre eux manque de kilomètres. Leur intention est bonne et ils  pensent ainsi ne pas nous retarder sur ce circuit assez long et délicat. Sept heure trente, un groupe d'environ sept cyclos démarre du quai de l'Adour et s élance direction le Tourmalet. Nous passons Lourdes, prenons la coulée verte et s'est alors que mon portable sonne. On ne peut pas être tranquille. Allo , qui m'appelle en cette matinée si belle et si calme ? C'est moi Guy quelqu'un a t'il un pneu de rechange ? Oui , où es tu , ok  nous arrivons. Notre homme sur le bord de la coulée verte, le pousse levé, un bord de son cuissard relevé style vamp fait un petit peu de zèle. Nous en rigolons un tantinet et nous passons à la réparation. Au moins une demi heure pour monter, gonfler, démonter à nouveau, regonfler, redémonter etc.. Ce fichu pneu ne tournait pas rond et chacun y allait de son explication. Joël qui avait cédé le fameux pneu eu droit à la séance de chambrage a tel point qu'il ne savait pas s'il devait se faire payer le pneu ou au contraire si ce n'était pas lui qui devait un dédommagement à Guy .Il est à noter que le pneu défectueux présentait sûrement un défaut de fabrication car il n'avait roulé qu'environ 2 000 km. Ah la qualité. Nous repartons  et voilà que quelques centaines de mètres plus loin la sacoche du même Guy se détache !!. Écart de ceux qui sont derrière, pas de casse, nouvel arrêt . Moqueries, mais notre homme est le premier à en rire donc tout va pour le mieux. Nous voilà reparti et Henri ne peut s'empêcher de lui demander : Tu as bien resserré les roues au moins. Notre compagnon fait la sourde oreille et nous roulons. La montée se fait tranquillement et nous atteignons notre but. Là nous attendons les trois derniers. Une demi heure, que font ils . Serge est déjà là. Ou sont les autres.Nous nous impatientons et c'est là que notre trio infernal arrive enfin. Explications: Ils n'étaient pas pressés, s'étaient arrêtés après Barèges pour casser une petite graine avec un copain pendant que nous, nous poireautions. C'est cela aussi les Cigognes. 
PS: notre photographe attitré étant absent il n'y aura pas de photos des scènes décrites
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 Troisième sortie décentralisée: Mas d'Azil (110 km)
En ce samedi 03 Juillet temps gris sur la chaine Pyrénéenne. Qu'importe il ne pleut pas. Quatorze personnes (Douze cyclos, une cyclote Maryse et Cécile notre accompagnatrice) embarquent donc dans un fourgon (il est nécessaire de le mentionner pour la suite) avec quatre vélos et deux passagers ainsi que dans quatre voitures.Nous nous dirigeons vers notre lieu de destination Figarol dans le Comminges.Arrivée échelonnée sur la place de l'église des quatre voitures vers 8 h 15 . Nous  préparons nos vélos, nos sacs à dos bien rangés dans le véhicule de Cécile et nous attendons notre fourgon retardé pensons nous du fait de sa faible vélocité. 8 h 30 , dong ,  la cloche de l'église sonne. 8 h 45 , sœur Anne ne vois tu rien venir. 9 h , dong ( 9 fois).Inquiétude, que se passe t'il. Nous tentons de téléphoner au copilote.Pas de réponse, pour une fois le portable était resté bien au chaud à la maison.Nous nous interrogeons, ennuis mécaniques? ont ils bien compris la route à prendre?. Nous décidons d'un commun accord de démarrer la randonnée et de laisser la voiture suiveuse sur place pour les attendre. 9 h 15, toujours rien et il est temps de partir. Maryse et Gérard qui ont leur vélo dans le fourgon ne sont pas enchantés de faire le circuit en voiture et font grise mine. Nous enfourchons nos vélos et alors là, que voyons nous déboucher en haut de la côte, nos retardataires heureux d'être là mais faisant profil bas. Inutile de vous dire la teneur de la bronca qui les a accueilli. En fait nous étions tous contents et rassurés qu'ils soient là. L'explication de leur retard est toute simple. Un bavardage ininterrompu les a détourné de leur objectif et ils ont donc raté la sortie prévue de l'autoroute. Vous comprendrez aisément la suite.Une petite anecdote comme celle ci fait le charme de telles randonnées et reste facilement dans les souvenirs plus facilement que les noms des villages traversés.Nous partons donc sereinement sur des routes très bien entretenues, pratiquement sans voiture et dans un calme reposant.Quelques villages et côtes plus loin nous arrivons au Mas d'Azil non sans nous être arrêtés un instant devant cette superbe grotte du même nom. Impressionnant  pour celui qui la découvre. Demi tour, passage devant une multitude de chapelles à flanc de coteau, côte de Clermont assez longue mais régulière ou nous avons pu un instant lâcher les chevaux attirés qu'ils étaient par l'avoine ( il était 13 h passé). Quelques kilomètres avant Montjoie, Cécile nous attend sur une aire de repos bien à l'ombre avec tables pour le repas, chant des oiseaux, toilettes champêtres.Je ne conterai pas ici le repas pris en commun dans une ambiance bien connue de tous les Cigognards. Il est l'heure de partir.Gérard fait sa petite sieste trop tôt interrompue à son goût. Première côte au bout de quelques kilomètres, dur dur après le repas. Louisou tire la langue, ce n'est pas son habitude. Un "copain" s'approche et lui dit de mettre pied à terre. Qu'y a t'il, ni plus ni moins qu'une petite vacherie faite par l'un d'entre nous. Une petite vis malicieuse avait fait toucher un patin sur la roue arrière.Nous poursuivons ainsi tranquillement notre route le long du Salat jusqu'à Mane. Une légère bruine vient nous rafraichir un petit peu. Il ne nous reste que 4 kilomètres et cette ultime côte roulante à avaler. Puis d'un seul coup patatras, la pluie, pas trop forte nous rattrape. Nous ne sortons pas nos vêtements de pluie, nous arrivons. Nous voilà au terme de la randonnée , l'église est en vue, dong,  il est 16 h30 .En conclusion nous pouvons dire encore une fois que cette décentralisée fut une réussite malgré....... j'ai déjà oublié.
A la prochaine
    Départ de Figarol                                                                           Grotte du Mas d'Azil












    Traversée de la grotte                                                                     Apéritif avant le repas










   Fin du repas, étirements                                                                   Réveil de Gérard











                                                        Le groupe rassasié et prêt à repartir

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SEMAINE CLUB 2010 TOUR DU MONT BLANC et
MONT VENTOUX (1909 m)

La traditionnelle semaine club des cigognes a été tout simplement géniale.Tant d'événements ont marqué ces quelques jours que je laisse à chacun le soin d'écrire ses propres souvenirs. Afin d'avoir quelques traces de nos péripéties je vais me faire le rapporteur le plus fidèle possible de quelques faits marquants sportifs ou festifs. 
Dimanche 13 juin, quatre voitures particulières, une remorque et un camping car s'élancent sur le macadam à 7 h 30 pétantes par un temps exécrable.Vingt personnes sont à bord, quatorze cyclos et six accompagnateurs dont trois dames. Destination Albertville ou nous arrivons dans la soirée. Je ne vous ennuierai pas avec les détails en tout genre concernant notre voyage.Chacun d'entre nous a en mémoire les poses casse croûte et autre.Rangement des vélos, souper ou dîner pour les puristes puis dodo car la journée du lendemain sera longue. Bonne nuit pour tous sauf pour quelques uns qui ont du subir le chant des sirènes. Mille excuses, plutôt le ronflement non maîtrisé de nos partenaires de chambrée. Ils se reconnaîtront.
Lundi 14 juin, petit déjeuner, puis départ pour Villeneuve en Italie. Il fait beau c'est parfait.500 m plus loin arrêt obligatoire pour la photographie de groupe au pied de ce qui fut la flamme des jeux olympiques d'hiver en 1992.Crépitement des appareils photos, flash etc.., il ne manquait que la foule que nous n'avions pas prévenue à temps.Une vingtaine de kilomètres plus loin du côté de Beaufort les choses sérieuse commencent.Nous gravissons le col de Méraillet (1606 m) ainsi que le Cormet de Roselend (1968 m). Très beau Paysage autour du lac du même nom.Tout va bien nous poursuivons notre route, passons Bourg St Maurice et attaquons le petit St Bernard.Notre assistance nous invite à nous arrêter pour prendre des forces car certains commencent à avoir l'estomac dans les talons.Petit apéritif' (c'est un euphémisme), repas complet concocté par nos accompagnateurs et trices de première classe, plein des bidons et nous voilà repartis. Dur les premiers hectomètres.Quelques petites plaisanteries puis plus rien. Chacun pour soi et dieu pour tous. Ça y est , nous sommes arrivés et le col du petit St Bernard (2188 m) nous ouvre les portes de la renommée, pardon de la descente. Nous nous arrêtons pour prendre les photos de circonstance et nous regrouper. Tout le monde est là, on y va. Descente sur près de 35 km environ. Villeneuve nous tend les bras,ouf .137 km d'effectués et 2970 m de dénivelé.Bonne nuit et à demain.
Mardi 15 juin, mauvais temps sur Villeneuve, dilemme, que fait on, le temps va t 'il se lever. Nous décidons de mettre les vélos sur la remorque et de faire le circuit en voiture jusqu'à Martigny en Suisse, nous n'avons pas le choix. A Aoste le temps paraît se lever. Nous nous arrêtons. Nouvelle discussion, on y va,oui , non, oui. Quatre d'entre nous dont je fais partie décident de se lancer. Nous verrons bien, les copains sont là et prêts à parer à toute éventualité.Nous enfilons vite nos tenues et en avant pour le grand St Bernard.32 km de montée. Le début de l'ascension n'est pas très dur si ce n'est la route qui est en cours de réfection.Nous montons tous ensemble. Ensuite chacun avec sa cadence propre La traversée de la forêt est monotone puis l'on aperçoit au loin des lacets qui se perdent dans la brume. L'on se dit que l'on approche. Je ne regarde pas mon compteur de distance, j'avance à un rythme régulier, tranquillement (plus ou moins) .Clément, Jean Louis et Jean François font de même. Je suis à la lettre les recommandations de copains expérimentés l'ayant déjà gravi.Quelques bâtisses émergent de cette purée, ça y est j'y suis, les voitures suiveuses passent et m'encouragent. Après un virage je ne les vois plus et la route monte toujours. Mauvaise surprise ce n'est pas encore là , il reste encore 3 km. Une fraction de seconde le moral est atteint et une phrase de Jeff me vient à l'esprit: Je t'aurai, un jour je t'aurai. J'en rie encore, c'est gagné, je me sens bien. Un énorme rocher surgit alors à ma gauche, ce doit être cela le Grand St Bernard. La neige est là de chaque côté de la route, il fait frisquet mais qu'importe j'y suis, les autres sont là, satisfaction.Je ne vous raconterai pas l'anecdote qui m'a valu ce jour là les sarcasmes de soit disant copains, je la garde pour moi.Grand St Bernard (2469 m). Seul regret: Le temps brumeux ne nous a pas permis d'admirer le paysage.Descente en voiture jusqu'à Martigny. A douma.
Mercredi 16 juin,départ de Martigny direction Albertville. Très beau temps. Dès la sortie de la ville nous attaquons la montée du col de la Forclaz. Montée très pentue en lacets à travers un superbe vignoble. La vue sur Martigny est magnifique mais nous ne pouvons pas en profiter très longtemps concentrés que nous sommes sur nos montures.La route est bonne et déjà un petit groupe de costauds se détache.Comme d'habitude chacun prend son rythme car 13 km sont à avaler avec un pourcentage de 8 à 9 pour cent.Nous traversons la forêt puis nous arrivons après 500 m éreintants au col de la  Forclaz (1527 m).Après s'être restauré un tout petit peu nous enfilons nos coupe vent pour la descente et hop s'est parti.Quelques gouttes de pluie tintent sur nos casques, le ciel est devenu gris, va t'on passer au travers.Nous atteignons le col des Montets (1461 m) sans souffrir et nous plongeons vers Chamonix.Verrons nous le Mt Blanc sur notre gauche.Non il n'apparaitra pas caché qu'il est par de gros nuages. Seule satisfaction nous apercevons le glacier , impressionnant.Petit tour en vélo dans Chamonix, nous passons devant la maison des guides, nous nous arrêtons pour une n ième photo (quels goinfres ces appareils numériques) et nous revoilà en selle. Après Chamonix petit problème. Nous sommes devant une 2 fois 2 voies interdite aux vélos. Les cartes routières se déploient, les renseignements sont pris auprès d'autochtones et nous voilà engagés sur des routes à la limite du praticable (du côté de Les Houches). La pluie commence à tomber tout doucement et une vingtaine de kilomètres plus loin nous attaquons la côte de St Gervais qui est le début du col de Megève. Là , à la sortie de la ville notre intendance nous attend pour le repas de midi.Une gare de téléphérique au repos nous tend les bras. Abri inattendu mais tellement apprécié. Merci les accompagnateurs.Le repas commence et la pluie ne cesse de tomber. La décision est prise à l'unanimité, nous ferrons la suite du parcours en voiture car deux cols sont encore à franchir, la route est mouillée et la circulation très dense.Sage décision. Le repas est pantagruélique et nous en profitons sachant que nous digérerons bien en voiture. comme d'habitude discussions diverses, blagues et chants du pays digne des Bandoulets (les fausses notes en prime).Le repas achevé notre ami Joël nous sert un breuvage du nom de génépi à base de plantes aromatiques que l'on rencontre dans le massif Alpin. Et alors là mes amis, quelques minutes après un vent de folie s'empare de quelques uns d'entre nous. Ça y est la tempête est passée nous reprenons les voitures et nous rentrons sur Albertville. Comme d'habitude repas sur place et repos bien mérité.Bonne nuit les petits.
Jeudi 17 juin, journée repos et départ pour Buis les Baronnies. Nous profitons de la matinée pour visiter la ville médiévale de Conflans qui est en fait la mère d'Albertville. Belle cité avec son château, ses petites ruelles, ses fontaines ou d'ailleurs un de nos cyclos a jeté quelques pièces pour essayer de s'attirer les bonnes grâces de je ne sais qui afin de pouvoir gravir le Mt Ventoux le lendemain.On ne sait jamais.Sacré Jeff. Visite guidée et admirablement commentée par notre ami Joël enfant du pays.Nous reprenons la route et en fin d'après midi nous intégrons nos cellules dans le cloitre des dominicains à Buis les Baronnies.Nos vélos rangés dans le sous sol dans un lieu dénommé caveau, nous passons à table. Le repas pris, les groupes se forment. Certains visitent la ville, d'autres se reposent et quelques uns d'entre nous assistent à la rencontre de la coupe du monde France- Mexique.Sans commentaire, lire la presse.Nous allons nous coucher et profiter d'une bonne nuit afin d' affronter demain dans de bonnes conditions le géant de Provence. Blaise et moi espérons que notre ami Clément s'endorme après nous sinon .......
Vendredi 18 juin, c'est parti direction Malaucène et le Mt Ventoux. Le beau temps est au rendez vous et nous roulons à un rythme raisonnable ce qui nous permet d'admirer le paysage et quelques vestiges de châteaux. Certains ont même repéré quelques cerisiers sur le bord de la route.Ce n'est pas le moment de s'attarder quelqu'un d'important nous attend, ne le faisons pas attendre.Après avoir gravi deux petits cols faciles appelés aussi pas d'environ 300  m d'altitude nous arrivons à Malaucène . Là notre groupe se scinde en deux. Ceux qui ont déjà fait la montée par Bedoin le font côté Malaucène. Tous les autres partent côté Bedoin. Nous sommes bien , Jacques B qui l'a déjà gravi nous donne quelques renseignements précieux . Nous sortons de Bédoin, tournons à gauche, roulons encore quelques quelques kilomètres et ensuite... l'on monte comme d'habitude. Il n'y a pas de secret , il faut s'économiser, boire, s'alimenter et en garder sous la pédale. Je ferai la route avec Joël . Nous montons à un rythme régulier. Personnellement j'utilise mon cardio et cela me permet de bien me gérer. Si le moteur tourne trop vite, à la longue il chauffe.Nous discutons durant toute la montée dans la forêt. L'on parle donc c'est bon signe. J'ai trouvé cette partie du circuit éprouvante et monotone (c'est mon ressenti personnel)  jusqu'au Chalet Reynard (1419 m). Lorsque nous arrivons sur le site de Chalet Reynard, alors là mes amis quel spectacle. Époustouflant, gigantesque, j'en est un petit frisson dans le dos. Le col est dégagé, j'aperçois l'observatoire qui paraît encré dans la neige. C'est du calcaire qui ceint toute la partie sommitale qui lui donne cette impression d'enneigement vu de loin.Bref, les qualificatifs me manquent pour décrire tant de beauté. Le nom de géant de Provence n'est pas usurpé loin de là. A partir de cet endroit magique nous apercevons une multitude de lacets et de virages qui s'enchainent et accrochés à eux comme sur un chapelet de minuscules petits points qui se meuvent comme ils peuvent pour atteindre leur Nirvana. Joël s'arrête, je me sens bien donc je poursuis, on ne sait jamais.Un cyclo me passe, je continue tranquillement et je m'aperçois qu'il monte à peu près comme moi. Je me porte à sa hauteur ,il me dit qu'il l'a déjà gravi plusieurs fois et me donne quelques indications sur la fin du parcours.Nous passons devant la stèle commémorative du coureur Simpson décédé dans cette ascension en 1967. Nous nous y arrêterons au retour.Nous touchons au but,  mon cyclo anonyme m'y mène comme dans un fauteuil, je me sens bien et il me reste encore un pignon derrière.Quelques cris émergent du sommet pour m'inciter à aller plus vite. Guy vous dira de quels encouragements il s'agit.Ça y est on y est, merveilleux. Je remercie mon ami cyclo et vais rejoindre les copains qui l'ont gravi dans l'autre sens puis nous attendons l'arrivée de tous les autres. Notre objectif commun est atteint, les quatorze cyclos sont arrivés au but . Félicitations à tous et mention particulière à Jean François qui est arrivé tout en force et au courage. Nous ne dirons pas que nous avons vaincu le Mont Ventoux (1909 m) se serait lui faire outrage, nous dirons pour imager un peu et humblement qu'on lui a caressé sa tête majestueuse.Photo souvenir et descente car le vent se lève et la fraicheur se fait sentir.Quelques kilomètres plus bas nous nous arrêtons pour nous restaurer et nous reposer un peu. Repas pris avec modération et avec plaisir après une telle ascension.Nous repartons et rentrons au bercail sans encombre. 114 km de réalisés dans la bonne humeur et sans trop de fatigue. Après un apéritif  pour fêter cette belle journée le repas est servi sous une tonnelle ou sont rassemblés environ une centaine de personnes. Certains d'entre nous commencent à chanter et cet ancien cloitre lieu de silence et de prière en est tout retourné.Les chants continueront dans les rues de Buis en Baronnies très tard dans la nuit. De mémoire de Buxois on n'avait jamais vu ça. La fatigue aidant la soirée s'achève tout naturellement et nous regagnons nos chambres.
Samedi 19 Juin, retour sur Tarbes non sans avoir auparavant visité la cité, le château et vu le pont Romain de Vaison la Romaine. Fin de notre périple. De l'avis de tous nous avons passé une excellente semaine, très sportive, enrichissante et conviviale et nous en redemandons. Reprenons ensemble, ce n'est qu'un au revoir mes frères.Adishatz a tots.

Départ d'Albertville                                                                                         Beaufort















     Les deux Jacques                                                                      Barrage Cormet de Roselend












Cormet de Roselend                                                                    En cas début petit St Bernard









    Toujours de bas en haut                                                      Repos bien mérité avant la montée









   Camping car de Charly équipé                                        Henri et Pierre au col du petit St Bernard










   Gilbert ,Pierre et Jacques C                                                        Repos à Villeneuve en Italie










Yvette au départ du grand St Bernard                            Grand St Bernard dans la Brume










Clément au col du grand St Bernard                                               Grand St Bernard











Martigny, début de la montée du col de la Forclaz                          Col de la Forclaz











 Journée repos                                                                Jean François jetant sa petite pièce









Nos charmantes accompagnatrices                       Joël et nos "charmants" accompagnateurs











Mont Ventoux                                                                                     Et oui ça monte











Jacques B en charmante compagnie                               Gilbert











Arrivée de Jean François, ouf.                                                              Stèle Simpson











stèle Simpson, Charly et Riri                                                          Les autres sont encore à table











Noctambules à Buis les Baronnies                                                        Vaison la Romaine











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 COL DU TOURMALET (2115 m) par Ste Marie de Campan

Le 05 Juin une vingtaine de Cigognards dont une féminine a tenté l'ascension du Tourmalet côté Sainte Marie de Campan lors de la traditionnelle montée de la statue du géant .Deux groupes se sont formés. Le premier est parti de Campan avant le départ officiel , l'autre est parti de Tarbes via le centre Laurent Fignon à Gerde et a intégré l'immense peloton. La montée fut très rude et les ravitaillements d'Artigue et de La Mongie ont été les bienvenus pour respirer un peu et se dégourdir les jambes. Les éléments du premier groupe sont montés direct sans arrêt en costauds.Tous sauf un qui était dans un mauvais jour et avec peu d'entrainement sont arrivés au but . Les derniers kilomètres ont été éprouvants pour nos cuisses mais le sourire narquois de certaines créatures encore inconnues il y a quelques années dans nos Pyrénées nous a incité plus que de coutume à atteindre notre but.Le deuxième groupe arrive en ordre dispersé alors que le premier groupe entame la descente.Pose restauration et en avant les gâteaux succulents confectionnés par des artisans de la région .Nous nous désaltérons, écoutons nos trois inséparables Bandoulets et leurs chants traditionnels puis nous repartons direction Tarbes. Journée éprouvante certes mais avec la satisfaction encore une fois d'avoir réussi cette ascension mondialement connue.Nous nous réservons un autre samedi pour la gravir côté Barèges, non mais.

 Le Géant à sa place d'été                                                             Départ au centre Laurent Fignon

 








 Gégé,Blaise et Pierre                                                                         Spectateur Pyrénéen ???

















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 COL DE LA COURADE OU NICLADE (1315 m) 2010

 Départ du quai de l'Adour ce Mercredi 02 Juin.Le temps est maussade, les discours vont bon train. Le sujet est le col de Niclade, col bien connu de tous les anciens mais rarement monté et pour cause. Pour ne pas décourager ceux qui ne l'ont jamais gravi et ceux qui ont oublié nous passons vite à autre chose et nous voilà parti.Approche classique jusqu'à Baudéan, petit allègement de rigueur, légère alimentation et puis.....chacun pour soi et dieu pour tous. Quelques discussions encore un peu puis silence radio jusqu'en haut. Plus de fanfaronnades. L'arrivée en haut du col  se fait au compte goutte. Un par un dans le silence. Personne ne dit mot mais tout le monde a souffert. Félicitations à ceux qui l'on fait pour la première fois et sans trop d'entrainement . Je pense à Serge, faut le faire comme l'on dit. Tout au moral.De l'avis de tous c'est un col très dur et l'on ne se bat pas au portillon pour y monter.On peut regretter le mauvais état de la route côté Peyras au début  de la descente, gravillons et trous .Mais bon, c'est fait et c'est là l'essentiel.Quelques photos du groupe de choc.
Bonsoir à tous
                                               lien: profil du col de la Courade




















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 NOTRE DAME DES CYCLISTES
 
En ce samedi 29 Mai 2010 la deuxième sortie décentralisée concoctée par Pierre démarrait depuis Nogaro direction le Gers  Pays de l'Armagnac et la bordure des Landes.Après la séance  photo obligatoire du départ nous voilà partis pour un périple qui allait nous mener de bastides en bastides jusqu'à' à notre Dame des cyclistes , une des trois chapelles mondiales consacrées aux cyclistes amateurs et professionnels.Dans une ambiance joyeuse toute cette troupe constituée de 17 cyclos et 2 cyclotes avance donc sur les routes bosselées du Gers. Notre organisateur nous avait dit au départ que le dénivelé n'était pas important mais méfiants nous avons géré nos efforts toute la matinée. La traversée de ces villes du Gers comme Eauze ancienne capitale Romaine, Montréal, Castelnau d'Auzan nous ravissent . Les amoureux des vieilles pierres et  des maisons à colombages savourent. A Eauze, église romane ou gothique telle fut la question posée et bonne réponse immédiate de Gérard un peu taquiné par Pierre.Non mais.Barbotan les thermes est en vue. Heureusement que notre ami Bruno va tout droit direction lesdits thermes sinon nous passions à côté d'un superbe porche et de la tranquillité reposante du lieu. Quelques kilomètres plus loin nous voilà à l'entrée de notre Dame des Cyclistes en plein milieu de la campagne. Un portique métallique en ouvre le passage.Le lieu est calme, reposant , la nature est autour de nous. Quelques tables nous attendent . Il est temps de passer à table. Notre accompagnatrice en chef Cécile qui déjà le matin nous avait préparé le petit casse croûte au bout de 20 km de route (et oui) a déjà mis en place les apéritifs. Nous revendiquons le terme de bons vivants dans des occasions pareilles. Tout doux quand même car il reste encore un petit peu de chemin à faire. Apéritif pris, les casse croûtes sortent des sacs et en avant les mandibules. Je passe sur tous les discours qui vont de table en table car nous pourrions en faire plusieurs romans.Tout ce petit monde repu nous nous laissons aller sur l'herbe fraichement coupée.Il est quatorze heure pétante, Monsieur Nadau président de l'association de notre Dame des Cyclistes entre en scène.Homme charmant , conteur invétéré et passionné. Nous rentrons dans la chapelle. Quel spectacle! des maillots par centaines accrochés aux murs avec le nom des cyclistes les plus renommés (Coppi, Bobet, Ocana, Amstrong, Contador, Anquetil , Poulidor, Jalabert , notre féminine Janie Longo et tous les autres). Des vélos de toutes les époques, des photos, des médailles, une véritable caverne d'Ali Baba. Monsieur Nadau, intarissable nous raconte l'histoire de A à Z de la chapelle et de ses trophées. Nous aurions pu y passer la journée tant il y avait à dire d'anecdotes et de souvenirs.Subitement ,Guy ,tout feu tout flamme s'adresse à notre hôte et lui demande s'il peut laisser son maillot. Avec plaisir lui répond il. Et voilà le maillot de Guy aux couleurs des Cigognes suspendu pour l'éternité au dessus de la porte d'entrée. Je soupçonne Guy d'avoir prémédité le coup car il avait un second maillot sur lui. Coquin en diable notre homme.Visite terminée, départ vers Nogaro avec nouvel arrêt à La Bastide d'Armagnac pour pose café ( sans armagnac) sous les arcades de cette vieille bastide. Allons nous arriver à temps pour la finale du match de rugby du Top 14. Après quelques petites péripéties suite à des changements de cap dus à un manque de concentration nous arrivons au but. Ouf, rude mais sympathique et agréable journée. 124 km au compteur au lieu des 107 prévus, mais quand on aime on ne compte pas dit on. Ce sont des journées à renouveler tant l'ambiance conviviale et la camaraderie étaient au rendez vous. C'est aussi et surtout cela le vélo.
Adishatz et à bientôt.

lien:notre Dame des cyclistes 

Barbotan les Thermes                                                                         Remise en forme des organismes











Pierre se requinque                                                                             Prise de parole du tribun










 Notre Dame des cyclistes                                                                 Aux cyclistes évite l'abandon











Monsieur Nadau conteur invétéré                                                         A l'intérieur de la chapelle











Le maillot de Guy (Cigognes)                                                                intérieur de la chapelle











              Cécile musicienne dans l'âme avec sa bouha saluant l'arrivée de Bruno



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 HOURQUETTE D'ANCIZAN (1538 m) 2010

En ce lundi 17 Mai 11 cyclos étaient présents au quai de l'Adour. Unanimement nous avons décidé d'aller côté montagne et ce à allure modérée. Direction donc le col d'Aspin ou la Hourquette d'Ancizan. Le choix du col sera fait par chacun à Payolle. Le village de Sainte Marie de Campan  est tout proche et malgré nos bonnes intentions du départ un petit groupe se détache. A partir de là chacun à son rythme entame la montée. Rythme plus que soutenu avec nos amis Loulou et Louisou. Notre groupe composé de Loulou, Louisou, Joël, Clément, Jacques C décide d'aller à droite direction la Hourquette.Blaise prend tout droit direction Aspin. La montée de la Hourquette est toujours délicate jusqu'au fer à cheval de la dernière bergerie. Après, de l'avis de tous c'est gagné malgré le chemin qui reste encore à parcourir. Mais la route est bonne, les seuls spectateurs que nous rencontrons sont les vaches et moutons fraichement tondus pour la saison d'été qui se sont rabattus vers les bergeries à cause de la neige encore présente sur les pentes.Quelques efforts de plus et nous voilà en haut. Les derniers cent mètres sont franchis dans un sillon creusé dans la neige.Clément sort son appareil tout neuf et commence sa séance photo après quelques mises au point . Loulou aperçoit quelque chose dans le dernier plat au niveau des granges. Il ne sait pas très bien de quoi il s'agit. Une mobylette peut être nous dit-il. Curieux, une mobylette ici , loin de tout.Nous attendons un peu et il nous semble reconnaître Pierre. Sans vouloir le vexer le terme de mobylette est un peu exagéré. Nous ne nous aventurerons pas à donner un autre nom plus adapté.Il est là , tout seul , au courage, c'est bien. Ceux qui l'accompagnaient, Jean François, Jacques P, André, Gilbert ont préféré faire demi tour à cause du froid . Ils avaient fait pourtant le plus dur.Dans la descente nous rencontrons Blaise qui avait gravi l'Aspin et terminait le plus dur de la Hourquette.Espérons que tous les efforts réalisés aujourd'hui ne lui portent pas préjudice lors de ses sorties dansantes.Voilà brièvement un aperçu de cette sortie.
Adishatz mainats